jeudi 25 février 2010

... suite


Voici mes petits trucs à moi :

Tout d’abord, il est préférable de manger le moins possible de sucre raffiné, le sucre blanc que vous trouvez en morceaux, en poudre. Comme tous les produits trop raffinés, il n’est pas bon pour la santé et, en plus, le raffinage enlève tous ses vitamines et ses minéraux. Je le remplace, selon les besoins, par du miel, du sirop d’érable, du sirop de blé, des sucres roux (style cassonade), du sucre de canne complet (ou intégral) de préférence bio, ou mieux encore de la mélasse, moins facile à trouver. Moi, je l’ai achetée pas très cher à l’Ile Maurice lors d’un voyage récent (gagné à un concours). Il faut dire que l’on y trouve pas mal de sorte de sucres car on y cultive la canne à sucres. Je l’avoue, cela fait cher le sucre avec le voyage mais je n’y suis pas allée exprès pour çà !

Pour les personnes qui sont sujettes au diabète et qui ne peuvent pas se passer du sucré, j’ai trouvé un produit qui agit comme les édulcorants – il donne le goût sucré sans en être – mais qui est 100 % naturel. Il s’agit du Stevia, plante d’Amérique du Sud dont les feuilles a le goût du sucre. Son avantage est qu’il ne s’agit que d’une plante et qu’il est très peu calorique. Mais, je ne dois pas vous mentir, moi personnellement, je n’aime pas trop son goût « très plante », « très vert ». Mais, cela peut être une bonne alternative pour les personnes qui ne peuvent absolument pas se passer de sucre. A essayer…
Autre moyen de ne plus utiliser les édulcorants : je mange tout simplement moins de sucre. Je n’en mets pas dans le café ; et, dans les pâtisseries, j’en diminue les doses et j’utilise du sucre non raffiné.

De toute façon, notre corps a besoin de sucre pour être en pleine forme, à condition de le consommer avec modération. On en revient toujours à la même chose : la modération, la modération, la modération…
Ce qui ne doit pas nous empêcher de se faire plaisir de temps en temps. Un bon carré de chocolat, un bon gâteau procurent de grands bienfaits pour le moral.

Co-auteurs : BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

"Vous êtes autorisé à publier cet article sur votre site à la seule condition de garder le contenu intact, d’indiquer le nom des auteurs et de maintenir les liens cliquables".

Co-auteurs : BRUNET Isabelle (spécialiste en développement personnel) et GAWELIK Katy (Docteur en droit, spécialiste en bien-être et en épanouissement personnel)

N’hésitez pas à visiter le site Abond@nce Editions http://www.abondance-editions.com et à télécharger les ouvrages et les audios gratuits.

Source : http://Contenu-Gratuit.com

jeudi 18 février 2010

Faut-il se méfier des édulcorants et autres « faux sucres » ? Par: BRUNET Isabelle et GAWELIK Katy

Adeptes des régimes, je suis persuadée que vous avez déjà craqué pour les édulcorants et les faux sucres, persuadés qu’ils allaient vous aider à perdre du poids.
Les light, les 0 % sont de plus en plus présents dans les réfrigérateurs et les placards.
Les édulcorants et faux sucres ont la particularité de vous donner le goût du sucre sans que vous ayez besoin de consommer du vrai sucre, source de calories importantes.

Les édulcorants et faux sucres sont divers et variés.
La première chose à savoir c’est que édulcorants et faux sucres sont deux choses différentes.
Pour ce qui est des édulcorants, vous en connaissez certainement déjà un : l’aspartame, le plus connu. Il existe également : la saccharine, les cyclamates, la thaumatine, le sucralose, l’acesulfame de potassium et la néohespéridine. Avec des noms pareils, on n’a aucun doute sur le fait qu’il s’agit de produits 100 % chimiques !
Dans la catégorie des faux sucres, on trouve : le xylitol, l’isomalt, le mannitol, le sorbitol, le maltilol, le lactitol.

Ces derniers sont tellement plébiscités par les consommateurs que les industriels se sont jetés à corps perdu dans ce créneau très lucratif. Amusez-vous à convertir le prix d’un paquet de 100 g d’aspartame, en prix au kilo. Vous serez effaré !

On trouve les édulcorants et les faux sucres dans de plus en plus d’aliments (yaourts, biscuits, gâteaux), de boissons (sodas), mais aussi dans des médicaments (les pastilles contre les maux de gorge, les sirops). Vous pouvez les trouver sous forme de sucre en poudre très fine, de sucres, de sucrettes, en liquide.

Moi aussi, j’ai cédé aux édulcorants. C’est magnifique de pouvoir avoir le goût du sucré sans en avoir les inconvénients « caloriques » !
Mais, j’en suis revenue à la suite d’études américaines auxquelles j’ai eu accès, qui dénonçaient les édulcorants comme dangereux pour la santé. Selon ces études, ils seraient néfastes pour le cerveau et provoqueraient des troubles neurologiques graves. D’autres études sont venues contredire les premières…

Qui croire ?
Franchement, je ne sais pas. Dans quelques temps une étude alarmiste ressortira certainement et ainsi de suite… (un peu comme cela se passe pour le téléphone portable !)
Ce qui est sûr, c’est que les édulcorants et les faux sucres sont soumis à des normes précises. Vous ne devez pas les consommer à outrance, d’autant plus que des études (non controversées, cette fois), ont montré qu’ils ne faisaient pas maigrir et, qu’au contraire, ils vous habituaient au goût du sucre, résultat vous devez en mettre de plus en plus pour retrouver la sensation du sucré.

Donc, ma position est la suivante : dans le doute, je m’abstiens !

C’est d’autant plus facile pour le sucre qu’il existe des tas de moyens d’en consommer moins, de le consommer mieux et de le remplacer par des produits naturels.
Comme je souffre un peu de problèmes de poids et que j’aime le sucre, j’ai recherché les moyens de le remplacer par des choses plus naturelles. J’en ai découvertes un certain nombre, après quelques recherches.

suite....

vendredi 12 février 2010

L'aspartame ferait-il grossir ?

Substitut révolutionnaire du sucre, découvert il y a maintenant plus de 40 ans (en 1965), l'aspartame a été depuis la seule bouée de sauvetage pour les « interdits » temporaires ou perpétuels de sucre : les patients en diète et les diabétiques. En effet, grâce à sa formule chimique faite de phénylalanine, d'acide aspartique et de méthanol dans une très moindre mesure, l'aspartame offre aux personnes obèses en diète et surtout aux diabétiques la saveur sucrée, dont ils sont strictement privés, avec des calories en moins !



Employé également aujourd'hui pour assaisonner notamment les boissons dites « light », ce produit est entré à l'heure actuelle dans les moeurs des consommateurs. Mais face à cette vulgarisation exponentielle de l'aspartame, plusieurs études scientifiques ont été menées sur des populations cibles et ont démontré l'avènement de très inquiétants symptômes que ces recherches attribuent pour la plupart à ce composé chimique ! Le premier et le principal symptôme attribué à cet édulcorant (que l'on désigne également sous la formule E951) porte sur des syndromes d'obésité ! Cela paraît paradoxal car l'aspartame n'est-il pas exactement employé par les diététiciens pour soigner les victimes d'obésité ! Et pourtant, il semblerait bien que contrairement à ce que l'on pensait jusque-là, l'aspartame fait grossir ! Les rumeurs colportées par le Net sur les différents forums concernés par le domaine avaient déjà pressenti cette accablante information. Mais comment cela se peut-il ? C'est la question à laquelle une étude élaborée a tenté d'apporter une réponse et surtout des explications.


Pour prouver leur soupçon, l'équipe de Mr JH Lavin avait ciblé en 1997 un petit groupe de femmes sous diète dont les unes « s'abreuvaient » au cours de leur repas de boissons édulcorées à l'E951 et les autres seulement de jus naturellement sucrés. Il s'était alors avéré que le groupe d'individus sous régime d'aspartame avait beaucoup plus une propension à manger que l'autre groupe, prouvant ainsi le facteur « obésifiant » de l'aspartame. Cette première étude fut par la suite suivie par une autre étude, américaine cette fois-ci, qui révéla encore mieux ce facteur retors de l'E951.


En effet, l'étude américaine réalisée sur près de 3 000 personnes révéla qu'une grande majorité d'individus normaux au départ et qui buvaient des boissons allégées (light) à l'aspartame pendant un laps de temps assez important avaient vu leur indice de masse corporelle (IMC) croître en flèche par rapport à celui des individus non consommateurs de boissons light. Cette tendance fâcheuse que les scientifiques ont mis à jour s'expliquerait tout simplement par le fait que de par sa composition chimique, l'E951 provoquerait en réalité une réaction en chaîne dont le déclenchement commencerait par un important besoin en hydrate de carbone qui se fait sentir au bout d'une certaine période et induirait la production en quantité importante d'insuline, qui elle-même favorise le stockage de cellules adipeuses dans certaines parties du corps comme les fesses ou les hanches, ce qui expliquerait dès lors la prise de poids. Par ailleurs, en tant que substitut du sucre, l'aspartame accroît l'attirance des personnes en diète ou des diabétiques pour le goût du sucré.
aspartame grossir


Déculpabilisées par le fait de savoir que ce produit leur permet d'avoir les sensations intégrales du goût sucré sans les inconvénients apportés par le sucre, ces personnes n'hésitent plus alors à manger davantage, voire même à abuser des boissons light édulcorées en majorité à l'aide d'aspartame, une attitude qui bouleverse alors aussitôt le peu de progrès qu'elles avaient alors réussi à gagner dans leur cure. L'aspartame est peut-être un substitut du sucre mais il ne constitue pas à lui tout seul le remède miracle à une cure d'amaigrissement. Cela doit toujours s'accompagner d'une alimentation équilibrée et saine. Ainsi, il sera plutôt conseillé de manger « nature », c'est-à-dire de la nourriture sans édulcorant (fruits, miel, yaourt « nature »...) et surtout de boire de l'eau lorsque la soif se fait sentir au lieu de « sauter » sur la première boisson light ! Toutefois, d'autres rumeurs nourries par les résultats de nouvelles recherches effectuées pour déterminer les effets de l'aspartame sur le corps humain incitent une fois de plus à la prudence en ce qui concerne l'E951. En effet, ces études semblent incriminer l'aspartame cette fois-ci à propos de maladies plus graves encore que l'obésité ! Ainsi, il semblerait que ce composé provoquerait pas loin de 92 symptômes d'ordre neurologique dont seraient victimes les consommateurs usuels de ce célèbre édulcorant. Aussi, dans l'attente de la confirmation de ces recherches par les organismes officiels de santé publique, il serait plus sage d'observer une certaine réserve pour les boissons édulcorées.

Le Mardi 04 Novembre 2008 à 10:35
Article écrit par Toli


Cet article est lié au dossier suivant :
  santé, nutrition, diététique Santé et diététique


fleche Voir les autres articles commençant par A
 

Aspartame : faut-il avoir peur de l'aspartame ?

Récemment accusé d'être cancérigène, le célèbre édulcorant alimente toujours la controverse. C'est par accident qu'un beau jour de 1965, un chimiste américain goûte un mélange d'acides aminés, la phénylalanine et l'acide aspartique. Il le trouve sucré. Et pour cause : l'aspartame, qui vient de naître , a un pouvoir sucrant 150 fois supérieur à celui du sucre. Depuis lors l'aspartame est devenu une star au parcours mouvementé.

Si l'aspartame est l'édulcorant intense le plus consommé en France, on a pu le rendre responsable de divers troubles, dont les tumeurs du cerveau. En 2002, l'Agence Française de sécurité sanitaire des aliments assure qu'il est sans danger. Coup de théâtre lorsqu'une étude scientifique italienne accuse l'aspartame d'être cancérigène ! Doit-on arrêter de glisser la sucrette dans nos boissons ? L'aspartame a-t-il un intérêt nutritionnel ? Il n'ya pas d'intérêt à consommer beaucoup d'aspartame ou à le substituer au sucre. En iminuant les sucres rapides, on risque de compenser par d'autres aliments caloriques. Ce n'est pas non plus une substance miracle ! Depuis le temps que l'aspartame est sur le marché, s'il était l'une des clés de l'amincissement, on le saurait. A celles qui veulent perdre quelques kilos et qui sont sensibles au sucre, il vaut mieux des sucres lents (pâtes, pomme de terre, pain,...) qui vont limiter les envies sucrées. C'est une astuce qui marche ! Selon un nutritionniste, si on mange un dessert édulcoré en pensant que la prise calorique sera moindre, on risque d'avoir davantage faim une heure plus tard.

En revanche en consommant un gâteau sucré l'après-midi, il pourra être accompagné par un café à l'aspartame. Outre le fait d'avoir économisé 20 calories, l'organisme, saturé en sucre , ne réclamera pas d'autre compensation sucrée. Chez certaines personnes, l'aspartame provoque un attrait pour le goût sucré. Elles auront besoin de compenser avec du sucre dans les heures qui suivent une consommation d'aspartame. L'étude scientifique italienne selon laquelle l'aspartame serait cancérigène est à considérer avec précaution.


aspartame
En effet, les doses d'aspartame administrées lors de l'étude ne sont pas appliquées à l'homme puisqu'elles équivalent à la consommation d'une boîte entière d'édulcorant par jour ! De plus au mois de mai dernier, l'Autorité européenne de sécurité des aliments a rejeté cette étude et confirmé que l'on pouvait consommer de l'aspartame. Cependant , il est conseillé de limiter notre consommation d'aspartame. Sa dose journalière acceptable est fixée à 40mg par kilo mais est de toute façon réellement déconseillée aux personnes souffrant de phénylcétonurie, maladie génétique nécessitant un régime très pauvre en phénylalanine, l'un des composants de l'aspartame. Pour atteindre une dose cancérigène, il faudrait envisager qu'une personne de 60 kg consomme 30 cannettes de soda light tous les jours de sa vie. C'est quasiment impossible !


On peut donc continuer à l'utiliser pour sucrer son café sans courir le moindre risque.

Le Jeudi 23 Août 2007 à 12:39
Article écrit par Mass



Aspartame - plus dangereux que le sirop de maïs de haut fructose

  • Aloe vera : la plante aide, le corps agit    par Dimitri JACQUES




  • Travail sur le corps, spiritualité et vie quotidienne    par Lionel Cruzille




  • Des poignées d'amour qui vous trahissent !    par Bruno




  • Quels sont les bienfaits du yoga pour une femme ?    par Josée Brousseau




  • La micro greffe capillaire est maintenant devenue une technique efficace et esthétique    par Guy Menahem






  • Il est vraiment difficile de croire que quelque chose pourrait être plus mauvaise que les charges intenses de sucre du sirop de maïs de haut fructose et du sucrose. Mais, l'aspartame (égale, Nutrasweet, mesure égale, cuillerée, Canderal) est bien plus dangereux à votre santé.
    L'aspartame, a été découvert la première fois en 1965 où le chimiste Jim Schlatter de Searle, qui développait cette drogue pour un autre but, en a accidentellement léché de son doigt et l'a trouvé pour être sucré. Les ingrédients en aspartame sont la phénylalanine (50%), l'acide aspartique (40%) et l'alcool méthylique (10%).
    L'aspartame a approuvé par la FDA en janvier 1981
    Même après environ huit ans de refus immuable par la FDA pour approuver cette drogue dangereuse pour la consommation humaine, Searle a essayé une plus de fois, le jour après l'inauguration du président en 1981. Le commissaire précédent de la FDA « avait été enlevé » et un neuf a installé. En dépit d'une recherche d'agence de FDA sur cette « approbation par triage politique, » la drogue n'a pas été enlevée du marché et la recherche a été essentiellement abandonnée.
    Pourquoi obtenir embaumé avant qu'il soit absolument nécessaire ?
    L'alcool méthylique, également connu sous le nom d'alcool « en bois » décompose dans le corps au formaldéhyde et au DKP (dicétopipérazine). Le formaldéhyde, autant de de toi probablement déjà connaissent, embaument la solution et fortement toxique au système nerveux central. Pourquoi obtenir embaumé avant qu'il soit absolument nécessaire ? L'alcool méthylique cause la cécité et si la dose est assez grande, il peut causer l'échec de foie et de rein. DKP est un carcinogène connu et cause des tumeurs de cerveau. Selon l'institut national de Cancer il y a eu une augmentation de 10% des tumeurs de cerveau primaires depuis 1985. Il y a également eu une augmentation des tumeurs de cerveau chez les enfants dont les mères ont consommé l'aspartame dans toute la grossesse.
    Phénylalanine et acide aspartique

    Ce sont les deux acides aminés qui sont normalement fournis par les nourritures des lesquelles nous mangeons. Cependant, quand ils sont isolés et fournis dans des concentrations très élevées, ils sont toxiques au système nerveux central causant le mal de tête, la perte mentale de confusion et de mémoire, les problèmes d'équilibre et les saisies. Ces ingrédients ont été classifiés comme excitotoxins.
    Dommages d'Excitotoxin
    Les dommages d'Excitotoxin prennent habituellement des semaines aux mois aux années pour devenir médicalement évidents. Excitotoxins sont également les générateurs forts des radicaux libres accélérant de ce fait le vieillissement de la plupart des systèmes d'organe, de manière significative le système vasculaire, compromis de système immunitaire induisant le cancer et le système musculo-squelettique ayant pour résultat l'arthrite. La douleur commune est l'une des plaintes en chef de ceux avec l'empoisonnement d'aspartame.
    La barrière hématoméningée
    L'aspartame est particulièrement dangereux à ceux qui ont déjà la maladie, le à venir et ceux moins d'un an. Diabète, compromis d'hypertension, de tabagisme et de vieillissement la barrière hématoméningée. Cette barrière dans le foetus et le nouveau-né n'est pas bien développée. Ces groupes sont particulièrement sensibles aux effets préjudiciables de l'aspartame puisque la barrière qui garderait les excitotoxins hors du cerveau est compromise ou pas développée encore. Aucun défaut de naissance de merveille n'est également associé à l'aspartame.
    Formaldéhyde (sans compter que l'embaumement)

    On le sait que le formaldéhyde s'accumule dans les secteurs du cerveau qui correspondent aux symptômes neurodegenerative de la maladie de la sclérose (ALS) ou du Lou Gehrig de partie latérale de Parkinson, d'Alzheimer et d'Amyotrophic. L'aspartame a été également montré aux saisies de cause dans les personnes susceptibles, même sans l'histoire antérieure.
    Aspartame et pilotes
    Quand j'étais un chirurgien de vol dans l'Armée de l'Air nous avons été toujours préoccupés par n'importe quelle ingestion d'alcool pendant 24 heures avant de voler. Maintenant, des pilotes doivent être préoccupés par l'ingestion d'aspartame avant de voler, puisqu'il peut induire le vertigo/désorientation et les saisies. Si vous volez le film publicitaire, espérer que votre pilote ne boit pas la soude de régime.
    Affaiblissement visuel

    Pendant les années de la prohibition il y avait beaucoup de cas de la cécité dus à la consommation de l'alcool méthylique, puisque l'éthanol (l'alcool typique des la plupart boit, les bières etc.) a été interdit. Aujourd'hui nous avons un ophtalmologue en plage occidentale de paume, Dr. H.J. Roberts de la Floride, qui a traité des centaines de victimes d'aspartame. Un quart de ses patients ont éprouvé la cécité. Selon Dr. Roberts « gonflement optique de nerf, la dégénération rétinienne et l'affaiblissement visuel, qui est associé à l'utilisation lourde d'aspartame, est identique à la pathologie observée dans des cas enregistrés de la toxicité de méthanol de l'alcool en bois potable tout au long des journées de la prohibition. » Ceci obtient particulièrement problématique puisque l'association diabétique américaine recommande toujours l'aspartame. Ce qui est fréquemment mal diagnostiqué comme diabétique retinopathy est souvent aspartame retinopathy.
    Au-dessous de est une liste partielle d'autres maladies que la toxicité d'aspartame peut imiter ou empirer. La liste se monte actuellement à environ 92 symptômes et maladies.
    Sclérose en plaques
    :maladie de Parkinson
    La maladie de Lou Gehrig
    Diabète
    Hypertension
    Syndrome chronique de fatigue
    L'obésité… oui, aspartame peut réellement causer le gain de poids.
    Phenylketonuria (PKU)
    Phenylketonuria est une maladie métabolique (génétiquement récessive) héritée rare qui peut avoir comme conséquence le retardement mental et d'autres problèmes neurologiques si le traitement n'est pas commencé en semaines premières de la vie. Le défaut est absence complète ou partielle de l'hydroxylase de phénylalanine d'enzymes qui métabolise la phénylalanine à la tyrosine. En raison du fait que l'aspartame est phénylalanine de 50%, c'est une contre-indication absolue pour n'importe qui avec PKU. Les porteurs pour le trait sont également en danger pour des problèmes avec l'aspartame. Il y a plus de 100 mutations génétiques différentes avec les activités enzymatiques de zéro à la normale. Pour plus d'information sur l'aspartame et le phenylketonuria suivre le lien ci-dessous :
    http://www.sweetpoison.com/phenylketonuria.html
    Le renard de Michael J., l'aspartame et le :maladie de Parkinson (ou) « régime Pepsi se décompose votre cerveau »
    Le renard de Michael J. a développé Parkinson à l'âge 30. Il était en même temps un porte-parole pour le régime Pepsi et a été connu pour être intoxiqué pour suivre un régime Pepsi. Suivre le lien ci-dessous pour plus sur ceci :
    http://everything2.com/index.pl?node_id=684893

    Pour voir un film très intéressant au sujet « de triage politique » et de la « approbation » certaine de l'aspartame par la FDA suivre le lien ci-dessous :
    http://www.soundandfuryproductions.com/Pages/Rumsfeld.html
    Pour plus sur les dangers de l'aspartame suivre les liens ci-dessous :
    http://aspartamekills.com http://dorway.com
    Bout d'aujourd'hui de santé
    Éviter l'aspartame complètement. Si vous devez boire des soudes, vous n'êtes pas en ligne meilleur de boire non-suivez un régime la variété. Il est beaucoup plus facile de perdre quelques livres de graisse, qu'être traité pour une tumeur, un :maladie de Parkinson ou une cécité de cerveau.
    Lire les étiquettes très soigneusement. L'aspartame est dedans, enfin compte, plus de 7000 nourritures, boissons comprenant la bière, boissons de nutrition de sports et barres et vitamines égales.
    Si vous allez boire des soudes de régime, veiller à les maintenir fraîches, car la dégradation de l'aspartame (qui procède même toujours non réprimé dans le bidon) est personne à charge de la température et d'âge. Plus la température ambiante (de stockage sont haute), plus méthylique l'alcool et le formaldéhyde seront présents dans votre soude. En outre, plus le bidon de soude chargée de régime d'aspartame est ancien, de l'alcool plus méthylique et de formaldéhyde sera présent dans le bidon.

    Référence :
    Édition de biochimie de Stryer quatrième
    A-t-il pu y avoir des maux menaçant dans la consommation d'aspartame ? Par Christine Lydon, MD http://www.aspartame.com/lydon.htm
    Le MericleDiet le rend facile à descendre de tous les édulcorants, soudes, sucrerie et fôlatre la nutrition. Il également marques il facile à descendre de toutes nourritures emballées ou traitées qui peuvent contenir ou cacher l'aspartame.

    Merci pour votre attention.
    © John Mericle M.D. 2005 de copyright tous droits réservés

    mercredi 10 février 2010

    L'aspartame au journal de 20h sur TF1

    L'aspartame, commercialisé en France depuis 1988, a toujours suscité débats, polémiques et rumeurs. Y a-t-il de réels dangers ? C'est l'enquête du 20 heures.

    lundi 8 février 2010

    L'Aspartame en détail

    L'aspartame est un édulcorant artificiel découvert en 1965. C'est un dipeptide composé de deux acides aminés naturels, l'acide L-aspartique et la L-phénylalanine, le dernier sous forme d'ester méthylique (c'est-à-dire dérivant du méthanol).

    L'aspartame a un pouvoir sucrant environ 200 fois supérieur à celui du saccharose et est utilisé pour édulcorer les boissons et aliments à faible apport calorique ainsi que les médicaments. Cet additif alimentaire est utilisé dans un grand nombre de produits et autorisé dans de nombreux pays, il est référencé dans l'Union européenne par le code E951.

    Depuis sa première autorisation de mise sur le marché aux États-Unis, par la Food and Drug Administration (FDA) en 1974, l'aspartame a fait l'objet de polémiques sur ses possibles effets nocifs sur la santé. Les organismes de santé publique (FDA, EFSA...) confirment son innocuité dans les doses d'utilisation autorisées chez l'Homme.
     
    Historique


    La première apparition de l'aspartame date de la publication de sa synthèse en 19666. Mais il aurait été découvert en 1965 par J. Schlatter, chimiste de la société G. D. Searle & Company, lors de la synthèse d'un tétrapeptide devant être testé comme médicament anti-ulcères7,8,9. L'aspartame était alors un intermédiaire de synthèse et Schlatter aurait goûté le produit tombé sur son doigt. Le goût sucré fut une découverte inattendue, l'acide aspartique et la phénylalanine n'étant pas sucrés. Le dipeptide non méthylé se révéla avoir une saveur amère. Schlatter synthétisa des composés de structure voisine, mais le produit original fut conservé et commercialisé sous le nom d'aspartame.

    Une première autorisation de mise sur le marché fut accordée à l'aspartame par la FDA (États-Unis) en juillet 197410. Cette autorisation fut l'objet d'une polémique, car Donald Rumsfeld, qui était alors secrétaire général de la Maison Blanche, devint ensuite directeur général de G. D. Searle & Company, qui fabrique et vend l'aspartame sous le nom de NutraSweet.

    Suite à de possibles effets toxiques et cancérigènes sur le cerveau par l'aspartame ou ses métabolites, l'autorisation fut suspendue quelques mois plus tard par la FDA en décembre 197410. Son usage fut rétabli en 1981 aux États-Unis11 dans les aliments solides, puis dans les liquides en 1983. En 1981, l'aspartame est autorisé par un comité commun d'experts de l'OMS et de l'Organisation pour l'agriculture et la nourriture12. La même année, le comité scientifique pour les aliments humains (CSAH / SCF en anglais) de la commission européenne approuve l'aspartame.

    En 1985, Monsanto fit l'acquisition de GD Searle et sépara Searle Pharmaceuticals et The NutraSweet Company en filiales distinctes10.

    L'aspartame est autorisé en France en 1988 et est codé E951 dans la classification européenne des additifs alimentaires13.

    Le brevet de l'aspartame tomba dans le domaine public en 1992.

    En 1994, son emploi en tant qu'édulcorant est harmonisé par l'Union européenne (directive 94/35/CE14). L'aspartame est alors approuvé dans plus de 90 pays.

    En 1995, l'Union européenne établit les critères de pureté pour l'aspartame (directive 95/31/CE15).

    En 2002, le comité scientifique de la Commission européenne confirme son avis sur l'innocuité de l'aspartame. La même année, l'Agence française de sécurité sanitaire (AFSSA) conclut dans un rapport : « La consommation d'aspartame chez l'homme, même dans des populations particulièrement exposées comme les enfants diabétiques, ne dépasse pas la dose journalière acceptable (DJA), notamment en France ».

    En 2003, la directive 2003/115/CE autorise un nouvel édulcorant intense dérivé de l'aspartame : le sel d'aspartame-acésulfame dont l'innocuité a été établie par le comité scientifique de l'alimentation humaine dès mars 200016 et les critères de puretés définie en 2001.
     
    Source : Wikipedia

    Additif ou drogue?

    L'aspartame a été découvert par hasard en 1965 au laboratoire Searle, aux États-Unis, par un scientifique qui cherchait à mettre au point un médicament contre les ulcères. En goûtant une pincée de sa poudre, il se serait rendu compte qu'elle avait un goût étonnamment sucré. Cette découverte était une bénédiction pour l'industrie alimentaire, qui cherchait une solution de rechange aux cyclamates et à la saccharine, interdits dans les aliments par le gouvernement depuis que des études chez les animaux ont révlé qu'ils enétraînaient des cancers. Au Canada, ces deux édulcorants sont tout de même disponibles en sachets dans les épiceries, les pharmacies et les restaurants. L'aspartame a été autorisé dans les aliments secs en 1981, puis dans les boissons gazeuses en 1983.
    Commercialisé sous le nom de NutraSweet et d'Égal, l'aspartame est un édulcorant synthétique modifié génétiquement et composé de deux acides aminés (composants des protéines), la phénylalanine et l'acide aspartique. Son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé que celui du sucrose. Pourtant, le cheminement de l'aspartame laisse plutôt un goût amer dans la bouche. Il a même des allures de conspiration, puisque le Pentagone a déjà nommé l'aspartame dans un inventaire d'armes chimiques! En fait, tant G.D. Searle, la compagnie de produits chimiques et pharmaceutiques mentionnée précédemment, que Monsato, maintenant propriétaire et fabricant d'aspartame, ont des liens tangibles avec la fabrication d'armes chimiques.

    Des études coûteuses

    C'est en 1974 que l'aspartame est approuvé pour la première fois. À la suite de deux études démontrant que cette substance cause des tumeurs chez les animaux de laboratoire, l'autorisation est abrogée. Ces études n'ont jamais été réfutées depuis. En septembre 1980, après délibération, un comité de la Food and Drug Administration (FDA) se prononce contre l'aspartame. Quatre mois plus tard, G.D. Searle soumet dix nouvelles études "bidons", qui feront pencher la balance du côté de l'aspartame par un vote: celui du commissaire Arthur Hayes... qui sera plus tard engagé par Searle! Selon le Dr Adrian Gross, ancien toxicologiste de la FDA, ces études sont de la foutaise. Il a noté que des décès d'animaux ont été cachés, que des tumeurs n'ont pas été rapportées et, dans certains cas, qu'elles ont même été extraites de l'animal qui, lui, a été remis dans l'étude!
    En 1996, le médecin et professeur Ralph G. Walton, du collège de médecine de la Northeastern Ohio Universities, décide d'analyser l'ensemble des études scientifiques reliées à la consommation d'aspartame. Ses observations parlent d'elles-mêmes: parmi les 174 études analysées, 74 étaient financées par l'industrie de l'aspartame, et 100 % d'entre elles concluaient qu'il n'y avait aucun problème avec ce produit! Cependant, sur 90 études indépendantes (non financées), 83 (92 %) ont plutôt relevé un ou plusieurs problèmes reliés à l'usage de cet édulcorant. L'aspartame est l'objet de controverse depuis son apparition; même son approbation relève d'une décision plus politique que scientifique. Mais avec des revenus se chiffrant dans les milliards de dollars par année, la compagnie Monsato n'est pas prête de lâcher le morceau.

    Des effets secondaires troublants

    La liste des effets secondaires liés à la consommation d'aspartame est très longue. De plus, selon la revue Headache de novembre 1997, des personnes particulièrement sensibles peuvent ressentir des effets avec de très faibles doses: une gomme à mâcher, par exemple, peut causer un mal de tête! En 1994, la FDA avait déjà accumulé près de 7000 plaintes d'effets secondaires reliés à l'aspartame (l'organisme ne veut d'ailleurs plus compiler les plaintes). Les plus fréquentes sont: maux de tête (ce qui a été confirmé par plusieurs études), vertiges, vision embrouillée, changements d'humeur, douleurs au ventre et crampes musculaires. Aux États-Unis, des pilotes d'avion ont même perdu leur permis pour avoir manifesté ces symptômes dans les heures suivant l'ingestion de boissons à l'aspartame. Des communiqués à cet effet ont d'ailleurs été émis dans les bulletins du U.S. Air Force et du U.S. Navy afin de prévenir le personnel de ce risque.
    Parmi les autres symptômes figurent les dépressions, les pertes de mémoire, les douleurs aux jointures, les troubles menstruels, les crises d'épilepsie et même quelques décès! Et il ne s'agit là que d'une fraction des effets actuellement associs à la éconsommation d'aspartame, puisque la majorité des gens n'ont pas encore fait le lien entre leurs problèmes de santé et ce produit. Même s'ils le font, seul un léger pourcentage des gens et des professionnels de la santé prendront le temps de le rapporter aux autorités gouvernementales.
    En 1991, le National Institute of Health a publié une bibliographie, Adverse Effects of Aspartame, énumérant pas moins de 167 raisons d'éviter l'aspartame. Une étude récente a également démontré que l'aspartame, tout comme le sucre, entraîne une calciurie, c'est-à-dire une perte de calcium dans les urines.

    Aspartame et gain de poids

    Puisque l'aspartame contient le même nombre de calories que le sucre, mais que son pouvoir sucrant est 200 fois plus élevé, comment le pancréas réagit-il lorsque la langue le détecte? Se pourrait-il qu'il envoie une dose massive d'insuline pour contrebalancer cette sensation trompeuse? Est-ce que la chute de sucre qui en résulterait donnerait à nouveau le désir de manger? Selon le neuroscientifique Richard Wurtman, la consommation de doses élevées d'édulcorants comme l'aspartame provoquerait effectivement des "crises" de sucre. L'American Cancer Society a confirmé cette ironie après avoir suivi 80 000 femmes durant six ans. Parmi celles qui ont pris du poids durant cette période, les femmes qui utilisaient des édulcorants artificiels en ont pris davantage que celles qui n'en consommaient pas.
    Une autre étude effectuée chez un petit groupe de femmes à la diète dmontre équ'elles ont tendance à manger davantage durant les jours qui suivent l'ingestion de boissons sucrées à l'aspartame, comparativement à l'ingestion de boissons sucrées naturellement (étude effectuée par J.H. Lavin et ses collaborateurs, parue en janvier 1997 dans une revue scientifique internationale sur l'obésité). Même le simple fait de mâcher de la gomme sucrée à l'aspartame augmenterait l'appétit. Quelques autres études, toutefois, n'ont pu démontrer ces effets.
    On suppose par ailleurs que les gens qui consomment des produits diètes auraient tendance à être moins vigilants: un faux sentiment de sécurité pourrait les porter à manger des gâteries, ici et là, puisqu'ils ont déjà "économisé"... Dans toute cette controverse, une chose est sûre: les édulcorants comme l'aspartame entretiennent le goût du sucre et ne permettent pas de modifier ses habitudes alimentaires, seul gage d'une perte de poids durable.

    Diabétiques, s'abstenir

    Selon le Dr H. J. Roberts, un endocrinologiste qui en a vu des "vertes et des pas mûres" avec l'aspartame, ce substitut de sucre compliquerait le contrôle de la glycémie chez les diabétiques, entraînant des crises plus fréquentes d'hypoglycémie et aggravant les complications diabétiques (cataractes, rétinopathies, neuropathies, etc.). De plus, chez un certain nombre de ses patients, on a incorrectement diagnostiqué qu'ils étaient atteints de la sclérose en plaques; les médecins dans l'erreur ignoraient que l'ingestion d'aspartame sur une base régulière entraîne des symptômes semblables.

    Quoi faire?

    · Près de 2 % de la population est porteuse, sans le savoir, d'un des deux gènes qui causent la phénylcétonurie. Or, l'aspartame contient de la phénylalanine, un acide aminé que ces personnes ne peuvent utiliser par manque d'une enzyme spécifique. Ces gens doivent éviter tous les produits qui en contiennent - dont l'aspartame - au risque de subir des crises d'épilepsie et des troubles mentaux sévères. Dans le doute, évitez de consommer de l'aspartame.
    · Si vous souffrez d'un problème de santé persistant et que vous utilisez des produits édulcorés à l'aspartame (boissons diète, gommes à mâcher, sachets, yogourts, etc.), cessez complètement d'en consommer durant un mois afin de voir si vos symptômes diminuent.
    · Vous devrez lire attentivement les étiquettes de tous les produits que vous achetez, car l'aspartame s'est infiltré un peu partout (voir ci-bas). À mon avis, plus vous vous tiendrez loin de cet additif, mieux vous vous porterez.

    Où se cache-t-il?

    En 1992, l'aspartame apparaissait dans plus de 4200 produits alimentaires aux États-Unis: certaines marques de crème glacée, yogourts, puddings, confitures, desserts prparés, cééréales à déjeuner, vinaigrettes et dîners surgelés en contiennent. Les pires: les boissons gazeuses "diète", les sachets de sucre Égal et la gomme à mâcher sans sucre. Les médicaments peuvent aussi en contenir, de même que le psyllium sucré "sans sucre" et les suppléments de vitamines croquables pour enfants. Surveillez les étiquettes.
    L'aspartame est peu stable dans les liquides et se décompose après une exposition à des températures élevées - ce qui se produit lorsqu'on fait chauffer l'aspartame, qu'on l'ajoute à des liquides chauds (café) ou lorsqu'il est entreposé durant de longues périodes à la température de la pièce. La dégradation du produit entraîne, entre autres, la formation de méthanol, qui se décompose par la suite en formaldéhyde (carcinogène connu), en acide formique et en diketopiperazine (DKP), tous responsables de tumeurs au cerveau.

    Ressources

    Plusieurs groupes de pressions, dont Mission Possible International, tentent depuis plusieurs années de faire interdire l'aspartame, dont ils dénoncent la nocivité. Cet organisme possède un site Internet rempli de données et de témoignages de médecins et de victimes. L'adresse: http://www.dorway.com
    Le site de NutraSweet, filiale de Monsanto http://www.nutrasweet.com/html/index.html

    Ce texte a été publié originellement dans le magazine Guide Ressources de janvier 1999.

    "L'amère vérité sur l'aspartame"

    Dossier: fluorides
    "Edulcorants de Synthèse"


     Autre pages qui traitent du sujet:
    Les dangers de l'aspartame 2ème partie
    L'aspartame et la sclérose en plaque,le lupus, le parkinson, le diabète...

     Stévia : la plante édulcorante naturelle et médicinale rejetée par la FDA et malmenée par Monsanto et Dupont.
    Le stévia remplace le sucre sans les inconvénients de celui-ci, de plus il ne contient pas de calories, il convient donc aux régimes amaigrissant.
    Remplacer le sucre dans les boissons et les aliments (édulcorant).
    Faire baisser le taux de glucose sanguin et stimuler la production d'insuline, abaisser la tension artérielle.
    Tonifier le coeur, abaisser la tension artérielle, faire baisser le taux de glucose sanguin et stimuler la production d'urine (diurétique).
    Une recette de dentifrice à base de stévia vous attends sur la page de stévia. Prévenir la carie et guérir de la gengivite.
    Les substituts du sucre à base d'aspartame causent des symptômes inquiétants allant de la perte de mémoire jusqu'à des tumeurs au cerveau. Mais en dépit de l'approbation par la FDA (Food & Drug Administration - organisme de certification et de contrôle des aliments et médicaments aux États-Unis) le plaçant au tableau des additifs alimentaires "sans danger", l'aspartame est l'une des substances les plus dangereuses jamais imposées à un public sans méfiance.
    Extrait du Nexus Magazine, Volume 2, 28 (Oct-Nov 95) et Volume 3, 1 (Déc 95-Janv 96) © 1995 par Mark D. Gold, 35 Inman St, Cambridge, MA 02139, USA Tél: (617) 497 7843,
    mgold@tiac.net

    Page principale de Mark Gold sur l'aspartame (en anglais seulement):
    http://www.HolisticMed.com/aspartame/

    Repris avec la permission de Blazing Tattles, Vol. 4, Nos. 4, 5, 6, Avril-Juin 1995 PO Box 1073, Half Moon Bay, CA 94019 USA. Tél: (415) 712 0772, Fax: (415) 712 8547;
    blazing@crl.com

    Dans le mensuel “Blazing Tattles”, vous aurez des dossiers sur la pollution et votre santé, le climat, et les écosystèmes. de l'information pour les consommateurs, les médias; les séquelles de la Guerre du Golfe et plus encore... Du travail sérieux!
    Aspartame est le terme technique pour les marques portant le nom de NutraSweet, Canderel, Equal, Spoonful et Equal-Measure. L'aspartame fut découvert accidentellement en 1965, lorsque James Schattler, un chimiste de G.D. Searle Company, était en train de tester un médicament antiulcéreux. L'aspartame fut autorisé pour les aliments secs en 1981 et pour les boissons gazeuses en 1983. Il fut au début approuvé pour les aliments secs le 26 juillet 1974, mais en raison d’objections émises par le Dr. John W. Olney, chercheur en science neurologique, et par l'Avocat général à la consommation, James Turner, en août 1974, et suite à des enquêtes sur les pratiques de recherche de G.D. Searle, la Food and Drug Administration (FDA) américaine a dû retarder son approbation de l'aspartame (5 décembre 1974). En 1985, Monsanto a acquis G.D. Searle et sépara Searle Pharmaceuticals et The NutraSweet Company en filiales distinctes.
    L'aspartame est, de loin, la substance la plus dangereuse sur le marché à être ajoutée aux aliments. L'aspartame est tenu pour responsable de plus de 75% des réactions défavorables aux additifs alimentaires dont il a été fait rapport à la FDA. Bon nombre de ces réactions sont très sérieuses, y compris des attaques d’apoplexie et la mort ainsi qu'il en
    a été fait récemment état dans un rapport de février 1994 du Department of Health and Human Services. (1) Quelques-uns des 90 symptômes répertoriés et énumérés dans le rapport comme étant causés par l'aspartame incluent : maux de tête/migraines, étourdissements, crises d’apoplexie, nausées, engourdissements, spasmes musculaires, gains de poids, irritations cutanées, dépression, fatigue, irritabilité, tachycardie, insomnie, problèmes visuels, perte d'ouie, palpitations cardiaques, difficultés respiratoires, crises d'anxiété, difficultés d'élocution, perte du goût, goût de fer, vertige, perte de mémoire et douleurs articulaires.

    Selon les chercheurs et les médecins étudiant les effets indésirables de l'aspartame, les maladies chroniques suivantes peuvent être causée ou aggravées par l'ingestion d'aspartame: (2) tumeurs au cerveau, sclérose en plaques, épilepsie, syndrome de fatigue chronique, maladie de Parkinson, maladie d'Alzheimer, retard mental, lymphome,
    malformations congénitales, fibromalgie et diabètes.

    L'aspartame est composé de trois produits chimiques : l'acide aspartique, la phénylalanine et le méthanol. Le livre "Prescription for Nutritional Healing" de James et Phyllis Balch, range l'aspartame dans la catégorie des "poisons chimiques". Comme vous allez le voir, c'est exactement ce qu'il est.
    L'ACIDE ASPARTIQUE (40% DE L'ASPARTAME) Le Dr. Russell L. Blaylock, professeur en neurochirurgie à la Medical University of Mississippi, a récemment publié un ouvrage détaillant in extenso les dommages causés par l'ingestion excessive d'acide aspartique issu de l'aspartame. [Quatre vingt dix neuf pour cent du glutamate de monosodium 9MSG est de l'acide glutamique. Les dommages qu'il cause sont également documentés dans le livre de Blaylock.] Blaylock fait mention de près de 500 références scientifiques afin de démontrer comment un excès d'acides aminés libres excitateurs tels que l'acide aspartique et l'acide glutamique dans notre alimentation sont cause de sérieux désordres neurologiques chroniques et d'une myriade d'autres symptômes aigus. (3)

    RÉSUMÉ DE LA FAÇON DONT L'ASPARTAME
    (ET LE GLUTAMATE) CAUSE DES DOMMAGES
    L'aspartame et le glutamate agissent comme neurotransmetteurs dans le cerveau en facilitant la transmission de l'information entre les neurones. Trop d'aspartame ou de glutamate dans le cerveau détruit certains neurones en autorisant l'invasion excessive de calcium dans les cellules. Cette invasion déclenche des taux excessifs de radicaux libres qui tuent les cellules. La perte en cellules nerveuses qui peut être causée par le glutamate et l'aspartame en excès est la raison pour laquelle on les appelle "excitotoxines". Ils "excitent" ou stimulent la mort des cellules nerveuses.

    L'acide aspartique est un acide aminé. Pris sous sa forme libre (non relié aux protéines), il élève d'une façon significative le niveau de plasma sanguin en aspartame et glutamate.
    L'excès d'aspartame et de glutamate dans le plasma sanguin, peu après l'ingestion d'aspartame ou de produits contenant de l'acide glutamique libre (précurseurs du glutamate), provoque une élévation du niveau de ces neurotransmetteurs dans certaines zones du cerveau.

    La barrière sanguine du cerveau (Blood Brain Barrier [BBB]) qui normalement protège le cerveau d'un excès de glutamate ou d'aspartame, aussi bien que de toxines,
    1) n'est pas complètement développée pendant l'enfance,
    2) ne protège pas complètement toutes les régions du cerveau,
    3) est endommagée par un nombre de conditions chroniques et aiguës et ¨
    4) permet l'infiltration d'un excès de glutamate et d'aspartame dans le cerveau, même lorsqu'elle est intacte.

    L'excès de glutamate et d'aspartame commence lentement à détruire les neurones. La grande majorité (75%+) des cellules nerveuses d'une zone particulière du cerveau sont tuées avant même que les symptômes cliniques d'une maladie chronique ne soient décelés. Quelques unes des nombreuses maladies chroniques dont il a été démontré qu'elles sont causées par une exposition à long terme au dommage des excitotoxines comprennent : la sclérose en plaques, ALS, perte de mémoire, problème hormonaux, perte d'audition, crises
    d'épilepsie, maladie d'Alzheimer, maladie de Parkinson, hypoglycémie, démence du Sida, lésions du cerveau et désordres neuroendocrinaux.

    Les risques encourus par les nourrissons, enfants, femmes enceintes, personnes âgées et les personnes avec des problèmes de santé chroniques causés par les excitotoxines sont grands. Même la Federation of American Societies For Experimental Biology (FASEB), qui minimise habituellement les problèmes et se conforme à la ligne de conduite de la FDA, a déclaré récemment "qu'il était prudent d'éviter l'utilisation de suppléments diététiques d'acide L?glutamique chez les femmes enceintes, les nourrissons et les enfants. L'existence
    d'une évidence d'effets secondaires potentiels endocrinaux, tels qu'une prolactine et une cortisolie élevée et des réponses différentielles entre hommes et femmes, suggéreraient également un lien neuroendocrinal et qu'un supplément d'acide L-glutamique devrait être évité par les femmes en âge de procréer et les individus atteints de désordres affectifs." (4)

    L'acide aspartique de l'aspartame possède les même effets délétères sur le corps que l'acide glutamique.

    Le mécanisme exact des réactions aiguës à l'excès du glutamate et de l'aspartame libre est actuellement débattu. Ainsi qu'il en est fait état par la FDA, ces réactions incluent: (5)
    maux de tête/migraines, nausées, douleurs abdominales, fatigue (bloque l'entrée suffisante de glucose dans le cerveau), problèmes du sommeil, problème de vision, attaque d'anxiété, dépression et asthme/oppression respiratoire.

    Une des plaintes commune chez les personnes souffrant des effets de l'aspartame est la perte de mémoire. Ironiquement, en 1987, G.D.Searle, le fabricant de l'aspartame, entreprit une recherche sur un médicament pouvant combattre les pertes de mémoire causées par les dommages dus aux acides aminés excitotoxiques. Blaylock est l'un des nombreux scientifiques et médecins intéressés par les dommages causés par les excitotoxines dus à l'ingestion d'aspartame et de MSG. Quelques-uns des nombreux experts qui se sont manifestés contre les dommages causés par l'aspartame et le glutamate incluent Adrienne Samuels, Ph.D., psychologue expérimental, spécialisée en recherche conceptuelle.

    De même, Olney, professeur dans le département de psychiatrie, School of Medecine, Washington University, neuroscientifique et chercheur et l'une des autorités les plus représentatives en matière d'excitotoxines. (Il informa Searle en 1971 que l'acide aspartique causait des trous dans le cerveau des souris).
    Également, Francis J. Waickman, Docteur en médecine, à qui a été attribué le Rinkel and Forman Awards et diplômé par le Conseil en pédiatrie, allergies et immunologie.

    D'autres scientifiques concernés sont : John R. Hain, Docteur en médecine, Diplômé par le Conseil en pathologie de médecine légale et H.J. Roberts, M.D., FACP, FCCP, spécialiste du diabète et sélectionné par une publication médicale nationale comme "Le meilleur docteur aux États-Unis".

    De même, John Samuels est concerné. Il compila une liste de recherches scientifiques suffisante pour montrer les dangers de l'ingestion excessive d'acide aspartique et glutamique libre. Et il y en a d'autres encore, nombreux, qui peuvent être ajoutés à cette longue liste.



    PHÉNYLALANINE (50% DE L'ASPARTAME)
    La phénylalanine est un acide aminé qui est normalement présent dans le cerveau. Les personnes souffrant du désordre génétique, phenylketonuria (PKU), ne peuvent pas métaboliser la phénylalanine. Ceci conduit à des hauts niveaux dangereux de phénylalanine dans le cerveau (parfois mortels).

    Il a été démontré que l'ingestion d'aspartame, particulièrement avec des hydrates de carbones, peut provoquer des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau, même chez des personnes ne souffrant pas de PKU. Ceci n'est pas une simple théorie, car de nombreuses personnes ayant mangé de grandes quantités d'aspartame au cours d'une longue période de temps et ne souffrant pas de PKU, ont été reconnues possédant des niveaux excessifs de phénylalanine dans le sang. Des niveaux excessifs de phénylalanine dans le cerveau
    peuvent amener une décroissance du niveau de sérotonine dans le cerveau, conduisant à des désordres émotionnels comme la dépression. Il a été démontré au cours de tests sur l'homme que les niveaux de phénylalanine dans le sang étaient accrus d'une façon significative chez les sujets humains ayant utilisé chroniquement l'aspartame. (6)

    Même une seule prise d'aspartame fait monter les niveaux de phénylalanine. Dans son témoignage devant le Congrès américain, le Dr. Louis J. Elsas démontra qu'une haute teneur en phénylalanine
    dans le sang peut se concentrer dans des parties du cerveau et est particulièrement dangereuse pour les nourrissons et les fœtus. Il a également démontré que la phénylalanine est métabolisée bien plus efficacement par les rongeurs que par les humains. (7)

    La prise en compte d'un cas de niveaux de phénylalanine extrêmement élevés provoqués par l'aspartame a été publiée récemment par le "Wednesday Journal" dans un article intitulé "An aspartame Nightmare" (un cauchemar à l'aspartame). John Cook commença par boire 6 à 8 boissons light par jour. Ces symptômes débutèrent par des pertes de mémoire et de fréquents maux de tête. Il continua par développer un besoin accru de boissons édulcorées à l'aspartame. Sa condition physique se détériora tellement qu'il connu des changements
    d'humeur importants et de violentes colères. Alors même qu'il ne souffrait pas de PKU, un examen sanguin révéla un niveau de phénylalanine de 80 mg/ dl. Il dévoila également une
    fonction cérébrale anormale et une détérioration du cerveau. Après avoir interrompu sa consommation d'aspartame, ses symptômes se sont améliorés radicalement.(8)

    Ainsi que Blaylock le souligne dans son ouvrage, les premières études mesurant l'accumulation de phénylalanine dans le cerveau étaient défectueuses. Les chercheurs qui la mesurèrent dans des régions spécifiques du cerveau et non la moyenne dans tout le cerveau notèrent des hausses significatives des niveaux de phénylalanine.

    Spécifiquement, les régions de l'hypothalamus, medulla oblongata et corpus striatum du cerveau avaient l'augmentation la plus importante en phénylalanine. Blaylock poursuit en soulignant que
    l'augmentation excessive de phénylalanine dans le cerveau peut causer de la schizophrénie ou rendre les personnes susceptibles de souffrir d'une attaque d'apoplexie.

    Ainsi, une utilisation excessive, à long terme, de l'aspartame peut mener à une accélération des ventes des inhibiteurs à la sérotonine tel que le Prozac et des médicaments pour contrôler la schizophrénie et les attaques.

    MÉTHANOL (ALCOOL DE BOIS D'AKA/POISON) (10% DE L'ASPARTAME) Le Méthanol/alcool de bois est un poison mortel. Certaines personnes peuvent se rappeler du méthanol comme étant le poison qui a été à l'origine de la perte de la vue, ou de la mort, de certains alcooliques "risque-tout". Le méthanol est graduellement libéré dans l'intestin grêle lorsque l'aspartame du groupe méthyle rencontre l'enzyme chymotryspine.

    L'absorption du méthanol par l'organisme est accélérée considérablement lorsque du méthanol libre est ingéré. Le méthanol libre est créé à partir de l'aspartame lorsqu'il est chauffé
    au-dessus de 30° centigrade. Ceci s'opère lorsque le produit contenant de l'aspartame est incorrectement stocké ou lorsqu'il est chauffé (par exemple, comme composant d'un produit "alimentaire" tel que le Jello). Le méthanol se décompose dans le corps en acide formique et en formaldéhyde. Le formaldéhyde est une neurotoxine mortelle. Une évaluation du méthanol établie par l'EPA déclare que le méthanol "est considéré comme poison cumulatif compte tenu de la faible proportion qui en est éliminée une fois qu'il est absorbé.

    Dans l'organisme, le méthanol s'oxyde en formaldéhyde et en acide formique; chacun de ces deux métabolites sont toxiques." Il est recommandé une limite de consommation de 7.8 mg/jour. Un litre de boisson édulcorée à l'aspartame contient environ 56 mg de méthanol. Les gros utilisateurs de produits contenant de l'aspartame consomment jusqu'à 250 mg de méthanol quotidiennement ou 32 fois la limite fixée par l'EPA. (9)

    Les symptômes d'un empoisonnement au méthanol sont des maux de tête, bourdonnement d'oreilles, dérangements gastro-intestinaux, faiblesse, vertige, frissons, trous de mémoire, engourdissement et douleurs fulgurantes des extrémités, troubles du comportement et névrite. Les problèmes les plus connus d'un empoisonnement au méthanol sont les problèmes de la vue comprenant vision embrumée, rétrécissement progressif du champ visuel, vision voilée, vision obscurcie, dommages rétiniens et perte de la vue. Le
    formaldéhyde est un cancérigène connu, il cause des dommages à la rétine, s'oppose à la reproduction de l'ADN et cause des malformations congénitales. (10)

    Étant donné l'absence de certains enzymes clefs, les humains sont beaucoup plus sensibles aux effets toxiques du méthanol que les animaux. Par conséquent, des tests d'aspartame ou de méthanol sur des animaux ne reflètent pas précisément les dangers encourus par les humains. Ainsi que le souligne le Dr. Woodrow C. Monte, Directeur du Food Science and Nutrition Laboratory à l'Université de l'État de l'Arizona, « Il n'existe aucune étude sur les humains ou les mammifères pour évaluer les effets mutagène, tératogène ou cancérigène
    possibles conséquentes à l'administration chronique de l'alcool de méthyle. » (11)

    Il se sentit tellement concerné en voyant les conclusions sur la sécurité demeurer sans solutions qu'il adressa une requête à la FDA réclamant une audition afin de discuter de ces résultats. Il demanda à la FDA de « ralentir la publication des conclusions concernant les boissons sucrées assez longtemps afin qu'il soit possible de répondre à quelques-unes des questions essentielles.

    Il n'est pas juste que vous laissiez tout le poids de l'authentification sur le petit nombre que nous représentons alors que nous possédons des ressources tellement limitées. Vous ne devez pas oublier que vous êtes l'ultime défense du public américain. Une fois que vous en aurez autorisé l'usage (de l'aspartame), il n'y aura littéralement plus rien que moi ou mes collègues ne pourrons faire pour inverser le processus.

    L'aspartame rejoindra alors la saccharine, les agents sulfites et Dieu sait encore ombien d'autres composants contestables prescrits pour insulter la constitution humaine avec l'approbation du gouvernement. » (10) Peu de temps après, le commissaire à la FDA, Arthur Hull Hayes, Jr. approuva l'utilisation de l'aspartame dans les boissons gazeuses, puis il fut engagé par une société de relations publiques de la G.D. Searle. (11)

    Il a été souligné que certains des jus de fruits et des boissons alcoolisées contiennent de petites quantités de méthanol. Il est important de se rappeler, cependant, que le méthanol n'apparaît jamais seul. Dans tous les cas, l'éthanol est présent, usuellement en plus grandes quantités. L'éthanol est un antidote à la toxicité du méthanol chez l'homme. (9)
    Les hommes des troupes de l'opération "Desert Storm" (guerre du Golfe) furent "régalées" avec de grandes quantités de boissons édulcorées à l'aspartame qui avaient été chauffées à plus de 30° centigrades par le soleil de l'Arabie Saoudite. Beaucoup d'entre eux en revinrent avec de nombreux désordres similaires à ceux trouvés chez des individus qui avaient été chimiquement empoisonnés par le formaldéhyde. Le méthanol libre dans ces breuvages peut avoir été un facteur contribuant à ces maladies. D'autres produits dérivés de
    l'aspartame tel que le DKP (voir ci-dessous) peut également avoir été un facteur. En 1993, dans un acte qui peut être décrit comme "inconscient", le FDA approuva l'aspartame comme ingrédient dans un certain nombre d'articles d'alimentaires qui seraient toujours chauffés au-dessus de 30° centigrades.

    DIKETOPIPERAZINE (DKP) La DKP est un produit dérivé de la métabolisation de l'aspartame. La DKP a été impliquée dans l'apparition de tumeurs au cerveau. Olney a remarqué que la DKP, lorsqu'elle était nitroazotée dans l'intestin, produisait un composant qui était similaire au N- nitrosourea, un composant chimique puissant causant des tumeurs au cerveau.

    Certains auteurs ont dit que la DKP est produite après ingestion de l'aspartame. Je ne suis pas sûr que ce soit correct. Il est définitivement vrai que la DKP est formée dans des produits liquides contenant de l'aspartame au cours d'un stockage prolongé.

    G.D. Searle a conduit une expérimentation sur des animaux pour vérifier la sûreté de la DKP. La FDA releva un certain nombre d'erreurs, y compris « des erreurs d'écriture, d'animaux mélangés, d'animaux à qui on n'administrait pas la drogue qu'ils étaient supposés prendre, de perte de spécimens pathologiques due à une mauvaise manipulation » et de nombreuses autres erreurs. (12)
    Ces procédures de laboratoires négligentes peuvent expliquer pourquoi les animaux servant aux tests et ceux servant de groupe contrôle avaient seize fois plus de tumeurs au cerveau que le nombre auquel on pourrait s'attendre au cours d'expérimentations de cette durée.

    Par un tour du sort, très peu de temps après la découverte de ces erreurs d'expérimentation, la FDA utilisa des protocoles recommandés par G.D. Searle pour développer les standards industriels de la FDA pour les pratiques des laboratoires alimentaires. (11)
    La DKP a également été impliquée comme ayant causé des polypes utérins et des modifications du taux de cholestérol par le Dr. Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA, dans sa déposition devant le Sénat des États-Unis. (13)



    ALIMENTS RÉSULTANT DE L'ASPARTAME
    Les composants de l'aspartame peuvent entraîner l’apparition d’une foule de maladies diverses. Quelques-unes apparaissent graduellement, d'autres sont immédiates, avec des réactions aiguës.

    Il y a une énorme population d'individus qui souffrent de symptômes attribués à l'aspartame et cependant ils ne comprennent pas pourquoi les plantes ou les médicaments ne parviennent pas à les soulager de leurs problèmes. Il y a d'autres utilisateurs d'aspartame qui paraissent ne pas souffrir de réactions immédiates à l'aspartame. Mais même ces
    individus sont susceptibles à long terme de souffrir des dommages causés par les acides aminés excitateurs, la phénylalanine, le méthanol et la DKP. Quelques-uns des nombreux désordres qui m'inquiètent particulièrement incluent les suivants.



    Malformations congénitales
    Le Dr. Diana Dow Edwards, un chercheur, fut commanditée par Monsanto afin d'étudier les possibilités de malformations congénitales causées par l'ingestion d'aspartame. Après qu'une information préliminaire ait fait état d'informations négatives au sujet de l'aspartame, les fonds alloués à la recherche furent retirés. Un pédiatre génétique à Emory University a attesté que l'aspartame causait des malformations congénitales. 7360-367

    Dans le livre "While Waiting" (En attendant) : un guide prénatal de George R. Verrilli, M.D. et Anne Marie Mueser, il est fait état que l'aspartame est soupçonné de causer des dommages au cerveau des individus sensibles. Ces effets peuvent faire courir un risque à un fœtus. Des chercheurs ont suggéré que de grandes doses d'aspartame peuvent être associées à des problèmes allant d'étourdissements et de modifications subtiles du cerveau à des retards mentaux.

    Cancer (Cancer du cerveau) En 1981, Satya Dubey, un statisticien du FDA, déclara que l'information concernant l'aspartame et les tumeurs au cerveau était si "préoccupante" qu'il pourrait ne pas recommander l'autorisation du NutraSweet. (14)

    Au cours d'une étude menée sur une période de deux ans et conduite par le fabricant de l'aspartame, douze des 320 rats nourris normalement et à l'aspartame développèrent des tumeurs au cerveau alors qu'aucun des rats de contrôle n'eurent de tumeurs. Cinq des douze tumeurs furent trouvées sur des rats nourris avec de faibles doses d'aspartame. (15)

    L'autorisation de l'aspartame fut une violation de l'amendement Delaney (aux États-Unis) qui était censé prémunir contre l'introduction dans notre alimentation de substances cancérigènes tel que le méthanol (Formaldéhyde) et la DKP. Feu le Dr. Adrian Gross, un toxicologue de la FDA, affirma dans son témoignage devant le Congrès américain que l'aspartame était capable de provoquer des tumeurs au cerveau. Il devint illégal pour la FDA d'en permettre une prise quotidienne, quelle qu'en soit la dose. Il établit dans sa déposition que les études de la compagnie Searle étaient « dans une large mesure, sujettes à caution » et que « au moins, une de ces études avait établi au-delà de tout doute raisonnable que l'aspartame est capable d'induire des tumeurs au cerveau des animaux d'expérience... » Il conclut sa déposition en demandant, « Quelle peut être la raison de l'apparent refus de la FDA d'invoquer pour cet additif alimentaire le bien- nommé amendement Delaney sur la loi concernant
    l'alimentation, les médicaments et les cosmétiques?... Et si la FDA elle-même décide de violer la loi, que reste-t-il pour protéger la santé du public? » (16)

    Au cours des années 70, on découvrit que le fabricant de l'aspartame avait falsifié des études de plusieurs façons. Une des techniques utilisées était de supprimer les tumeurs apparues sur les animaux soumis aux tests et de les remettre en circulation dans le groupe d'étude. Une autre technique employée pour falsifier ces études étaient de faire figurer sur les listes, des animaux morts comme ayant survécu aux tests. Ainsi, l'information concernant les tumeurs du cerveau était encore pire qu'on aurait pu le croire précédemment. De
    plus, un ancien employé du fabricant de l'aspartame, Raymond Schroeder, informa la DPA le 13 juillet 1977 que les particules de DKP étaient en si grandes quantités que les rats pouvaient faire la différence entre le DKP et leur alimentation normale. (12)

    Il est intéressant de noter que l'indice des tumeurs au cerveau chez les personnes de plus de 65 ans s'est accrue de 67% entre les années 1973 et 1990. Les tumeurs au cerveau dans les groupes de tous âges se sont accrues de 10%. La croissance la plus importante s'opéra au cours des années 1985-1987. (17)

    Dans cet ouvrage « aspartame (NutraSweet). Est-ce sain? », le Dr. Roberts apporte des preuves selon lesquelles l'aspartame peut causer une forme particulièrement dangereuse de
    cancer : le lymphome primaire du cerveau.



    Le diabète
    L'American Diabetes Association (ADA) va même jusqu’à recommander ce poison chimique à des personnes souffrant du diabète. Selon la recherche menée par H.J. Roberts, diabétologue, membre de l'ADA et faisant autorité dans l'étude des édulcorants artificiels, l'aspartame :
    1) conduit à une accélération des diabètes cliniques.
    2) est la cause d'une difficulté de contrôle du diabète chez les diabétiques insulino- dépendants ou traités par voie orale.
    3) conduit à l'aggravation des complications du diabète telle que la rétinopathie, les cataractes, la neuropathie et la gastroparésie.
    4) cause des convulsions.

    Dans une déclaration concernant l'utilisation des produits contenant de l'aspartame par des personnes souffrant de diabète et d'hypoglycémie, Robert dit : « Malheureusement, bon nombre de mes patients habituels et d'autres vus en consultation, développent de sérieuses complications métaboliques, neurologiques et autres qui pourraient être spécifiquement attribuées à l'usage des produits contenant de l'aspartame. Ceci fut mis en évidence par : la perte du contrôle du diabète, l'intensification de l'hypoglycémie, l'apparition de soi-disant
    "réactions à l'insuline" (y compris des convulsions) qui en fait furent reconnues comme des réactions à l'aspartame et la précipitation, l'aggravation ou la simulation de complications diabétiques (spécialement une diminution de la vue et de la neuropathie) pendant l'utilisation de ces produits.

    Une amélioration frappante de ces symptômes se révéla après l'éviction de l'aspartame et la prompte et prévisible récurrence de ces problèmes lorsque le patient reprenait des produits à l'aspartame, consciemment ou par inadvertance. »

    Roberts poursuit ainsi : « Je regrette l’omission des autres médecins et de l'American Diabetes Association (ADA) d’émettre les avertissements appropriés aux patients et aux utilisateurs basés sur ces découvertes répétées qui ont été décrites dans mes études exemptes de toute influence corporative et dans mes publications. »

    Baylock déclara que des excitotoxines telles que celles trouvées dans l'aspartame peuvent accélérer le diabète chez des sujets qui sont génétiquement susceptibles de souffrir de
    cette maladie. (5)



    Désordres émotionnels
    Une étude “en double aveugle” sur les effets de l'aspartame sur des sujets souffrant de désordres émotionnels fut récemment menée par le Dr. Ralph G. Walton. Étant donné que
    l'étude ne fut pas commanditée/contrôlée par les fabricants d'aspartame, la compagnie NutraSweet refusa de lui vendre de l'aspartame. Walton fut obligé de s'en procurer et de le
    faire certifier par une source extérieure. L'étude démontra une croissance importante de graves symptômes chez les personnes prenant de l'aspartame. Certains de ces symptômes
    étaient si graves que l'Institutional Review Board se trouva dans l'obligation d'arrêter l'étude. Trois des participants avaient dit qu'ils avaient été "empoisonnés" par l'aspartame.
    Walton conclut que « des individus sujets à des désordres émotionnels sont particulièrement sensibles à cet édulcorant artificiel; son utilisation par cette population devrait être
    découragée. » (18) Conscient que l'expérimentation ne pourrait pas être répétée compte tenu du danger encouru par les sujets soumis aux tests, Walton fut cité récemment comme
    disant : « Je sais que cela provoque des crises d'apoplexie. Je suis convaincu également que cela provoque avec certitude des modifications comportementales. Je suis très en colère
    de voir cette substance sur le marché. Je mets personnellement en cause la validité et la véracité de n'importe laquelle des études commanditées par NutraSweet Company. » (19)

    Il est fait état de nombreux cas de faibles niveaux de sérotonine cervicale, de dépressions et autres désordres émotionnels qui ont été reliés à l'aspartame et qui sont souvent soulagés en arrêtant la consommation d'aspartame. Des chercheurs ont souligné que l'augmentation des niveaux de phénylalanine dans le cerveau, qui peut arriver et arrive chez des sujets ne souffrant pas de PKU, provoque une baisse du niveau de ce neurotransmetteur (sérotonine) qui mène à une foule de désordres émotionnels différents. Le Dr. William M. Pardrige de l'UCLA déclara dans son témoignage devant le Sénat américain qu'un adolescent buvant quatre bouteilles de 16 onces (487 grs) de boisson gazeuse (soda) Diète (sans sucre) par jour subit une énorme hausse du niveau de phénylalanine.



    Épilepsie/Apoplexie
    Avec le nombre important et croissant d'apoplexies causées par l'aspartame, il est triste de constater que l'Epilepsy Foundation fait la promotion de la "sécurité" de l'aspartame. Au Massachusetts Institute of Technology (MIT), 80 personnes qui avaient souffert de crises d'apoplexie après ingestion d'aspartame avaient été mises en observation. Le Community Nutrition Institute apporta les conclusions suivantes de cette observation : « Ces 80 cas correspondent à la définition même de la FDA d'un risque imminent encouru pour la santé
    publique et qui entraîne normalement le retrait expéditif d'un produit par la FDA. »

    Le magazine de l'Air Force "Flying Safety" et celui de la Navy "Navy Physiology" ont publié des articles mettant en garde contre les nombreux dangers de l'aspartame incluant les effets nocifs cumulatifs du méthanol et les plus grandes possibilités de malformations congénitales. Les articles notaient que l'ingestion de l'aspartame pouvaient rendre les pilotes plus susceptibles à des crises d'apoplexie et de vertige. Vingt articles émettant des avertissements au sujet de l'ingestion d'aspartame pendant un vol ont pu être lus dans le National
    Business Aircraft Association Digest (NBAA Digest 1993), Aviation Medical Bulletin (1988), The Aviation Consumer (1988), Canadian General Aviation News (1990), Pacific Flyer (1988), General Aviation News (1989), Aviation Safety Digest (1989) et Plane & Pilot (1990) et un article avertissant des dangers de l'aspartame fut présenté au 57ème Congrès Annuel de l'Aerospace Medical Association (Gaffney 1986).

    Récemment, une ligne ouverte accessible 24 heures sur 24 fut mise en place pour répondre aux pilotes souffrant de réactions aiguës à l'ingestion d'aspartame. Plus de 600 pilotes ont déclaré avoir eu des symptômes incluant ceux qui mentionnés dans le rapport à propos de crises d'épilepsie dans leur cockpit dues à l'aspartame. (21)

    Une des premières études sur l'aspartame fut réalisée en 1969 par un scientifique indépendant, le Dr. Harry Waisman. Il étudia les effets de l'aspartame sur des bébés primates. Sur les sept bébés singes, l'un mourut au bout de 300 jours et cinq autres eurent des crises d'épilepsie. Bien entendu, ces découvertes négatives ne furent pas soumises à la FDA au cours de la procédure d'approbation. (22)

    Pourquoi n'entendons-nous pas parler de ces choses-là? La raison pour laquelle les gens n'entendent pas parler des sérieuses réactions à l'aspartame est double :
    1) Manque d'information de la population générale. Il n'est pas fait mention dans les journaux des maladies causées par l'aspartame comme le sont les accidents d'avion. Ceci parce que ces
    incidents arrivent isolément dans des milliers d'endroits différents des États-Unis (et du monde).
    2) La plupart des gens n'associent pas leurs symptômes à un emploi à long terme de l'aspartame. Pour les gens qui ont ainsi détruit un pourcentage important des cellules de leur cerveau et ainsi causé une maladie chronique, il leur est impossible de pouvoir associer
    cette maladie à la consommation d'aspartame. La façon dont l'aspartame a été approuvé est une leçon démontrant comment les industries chimiques et pharmaceutiques peuvent manipuler les organismes gouvernementaux telle la FDA, les organisations "corrompues" telle l'American Dietetic Association et l’ensemble de la communauté scientifique avec des études mal réalisées et frauduleuses soutenues par les industriels et financées par les fabricants d'aspartame.

    Erik Millstone, un chercheur au Science Policy Research de l'Université du Sussex a compilé des milliers de pages de preuves, certaines ayant été obtenues par l'usage de la loi 23 sur la liberté de l'information, démontrant que :
    1. des tests en laboratoires étaient falsifiés et les dangers dissimulés; 2. des tumeurs furent enlevés d'animaux et des animaux qui étaient morts furent “ressuscités” dans les rapports de laboratoire;
    3. des déclarations fausses et trompeuses ont été faites à la FDA;
    4. les deux juges d'instruction fédéraux missionnés pour réunir des charges de fraudes contre le fabricant d'aspartame furent engagés par le cabinet d'avocat du fabricant, laissant dépasser le terme du délai légal de prescription;
    5. le Commissaire de la FDA ne tint pas compte des objections émises par le propre bureau d’études de la FDA. Peu de temps après cette décision, ce commissaire accepta un poste chez Burson-Marsteller, la société chargée des relations publiques de G.D. Searle.

    Une commission d'enquête publique (Public Board of Inquiry, PBOI) fut mise en place en 1980. Elle comprenait trois scientifiques qui étudièrent les objections d'Olney et Turner contre l'autorisation de l'aspartame. Ils votèrent unanimement contre l'approbation de l'aspartame. Le Commissaire de la FDA, le Dr. Arthur Hull Hayes Jr. nomma alors une
    commission scientifique de 5 personnes pour étudier les découvertes de la PBOI. Après qu'il fut clair que la commission confirmerait la décision de la PBOI par un vote de 3 contre 2, une autre personne fut adjointe à la commission, créant de ce fait une impasse par un vote de 3 contre 3. Ceci permit au Commissaire de la FDA de briser l’impasse et d'approuver l'aspartame pour les aliments secs en 1981.

    Le Dr. Jacqueline Verrett, doyenne scientifique d'une commission d'étude d'un Bureau of Foods de la FDA mise en place en août 1977 afin d'étudier le rapport Bressler (un rapport qui décrivait les procédures douteuses de la compagnie G.D. Searle au cours des tests probatoires) explique : « Il était particulièrement évident que quelque part le long de la chaîne, les officiels du bureau travaillaient à une exonération. » En 1987, le Dr. Verrett dans une déposition devant le Sénat Américain, déclara que les expérimentations menées par Searle étaient "désastreuses".
    Elle déclara que son équipe fut instruite de ne pas émettre de commentaires sur la validité des études ni de s’en préoccuper. Elle déclara qu'il n'avait pas été apporté réponse à des questions concernant les malformations congénitales. Elle poursuivit sa déposition en exposant le fait qu'il avait été démontré que la DKP accroissait la formation de polypes utérins et augmentait le taux de cholestérol dans le sang et que l'augmentation de la température du produit mène à un accroissement de la production de la DKP. (13)


    Les "portes tournantes"
    La FDA et les fabricants d'aspartame eurent un mouvement de personnel important pendant de nombreuses années. A part le Commissaire de la FDA et les deux juges d'instruction fédéraux démissionnant pour être engagés par des sociétés en relation avec G.D. Searle, quatre autres officiels de la FDA en relation avec l'approbation de l'aspartame acceptèrent des emplois en relation avec l'industrie du NutraSweet entre 1979 et 1982, y compris le Commissaire Délégué de la FDA, l'Assistant Spécial au Commissaire de la FDA, le Directeur
    adjoint du Bureau of Foods and Toxicology et le Procureur impliqué dans le Bureau d'Enquête Publique (Public Board of Inquiry). (24)

    Il est important de réaliser que ce phénomène dit des "portes tournantes" s'est répété durant des décennies. La Townsend Letter for Doctors (11/92) rend compte d'une étude révélant que 37 des 49 responsables les plus importants de la FDA ont accepté des postes dans des compagnies au sujet desquelles ils avaient rendu des décisions durant leur mandat à la FDA. Elle fit également état du fait que plus de 150 fonctionnaires hauts placés de la FDA possédaient des actions de compagnies qu'ils avaient la responsabilité de surveiller.

    De nombreuses organisations et universités reçurent des sommes très importantes de compagnies reliées à la NutraSweet Association, un groupe de compagnies promouvant l'utilisation de l'aspartame. En janvier 1993, l'American Dietetic Association reçu un don de 75 000 US$ de la NutraSweet Company. L'American Dietetic Association a
    déclaré que la NutraSweet Company rédigeait ses pages intitulées "Des Faits". (25)

    Plusieurs autres organisations et chercheurs soi-disant "indépendants" reçoivent des sommes importantes des fabricants d'aspartame. L'American Diabetes Association a reçu un montant très important de NutraSweet, dont notamment une somme pour le fonctionnement d'une école culinaire à Chicago (vraisemblablement pour enseigner aux diabétiques comment utiliser NutraSweet dans leur cuisine).
    Un chercheur d’un état de la Nouvelle-Angleterre qui avait souligné par le passé les dangers de l'aspartame est maintenant un consultant à l’emploi de Monsanto. Un autre chercheur du sud-est des États-Unis avait témoigné des dangers de l'aspartame pour les fœtus. Un journaliste d'enquête a révélé qu'on lui a demandé de « la fermer » afin d'éviter la perte d'un don important en provenance d'un fabricant de cola diététique appartenant à la NutraSweet Association.


    Que fait la FDA pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame?
    Moins que rien.
    En 1992, la FDA autorisa l'utilisation de l'aspartame dans les boissons maltées, les céréales pour petit déjeuner et les garnitures et gâteaux glacés. En 1993, la FDA autorisa
    l'utilisation de l'aspartame dans les bonbons durs et mous, les boissons non-alcoolisées en vogue, les boissons au thé, les jus de fruits et les concentrés, les viennoiseries et les préparations à pâtisserie, les gelées, les crèmes et nappages pour les pâtisseries.

    En 1991, la FDA a interdit l'importation du stevia. La poudre de cette feuille a été utilisée pendant des centaines d'années comme édulcorant. Elle est largement utilisée au Japon sans aucun effet contraire. Des scientifiques engagés pour étudier le stevia l'ont déclaré propre à la consommation humaine, ce qui a été tout à fait reconnu dans de nombreuses régions du monde où il n'est pas interdit. Toutes les personnes à qui j'ai parlé de cette question croient que le stevia a été interdit afin qu'il ne puisse s'implanter aux USA et réduire
    ainsi les ventes de l'aspartame. (26)

    Que fait le Congrès américain pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame? Rien.
    Que fait l'Administration américaine (Président) pour protéger le consommateur des dangers de l'aspartame? Rien.

    La consommation d'aspartame n'est pas seulement un problème aux USA. Il est en vente dans plus de 70 pays dans le monde.

    L'ASPARTAME PEUT ÊTRE TROUVÉ DANS : - les petits-déjeuners instantanés - les rafraîchisseurs d'haleine (rince-bouche) - les céréales - les gommes à mâcher sans sucre - les mélanges au cacao - les boissons au café - les desserts réfrigérés - les desserts gélatineux - les boissons à base de jus de fruits - les laxatifs - les multivitamines pour adulte et pour enfants - les boissons au lait - les médicaments et suppléments nutritifs - les mélanges mixés - les boissons non alcoolisées - les édulcorants de table - les boissons au thé - les thés et
    cafés instantanés - les mousses et crèmes décoratives - les glaçages - les yaourts (yogourts)

    Il m'a été dit que de l'aspartame a été trouvé dans des produits alors qu'il n'était pas mentionné sur la liste des ingrédients figurant sur l'emballage. On doit faire particulièrement attention aux produits pharmaceutiques et aux suppléments nutritionnels. J'ai été informé que même quelques suppléments fabriqués par des fabricants connus tel que Twinlabs contiennent de l'aspartame.
    L'information présentée ici n'est que la pointe de l'iceberg car il y a énormément d’information négative au sujet l'aspartame. Afin que le lecteur puisse obtenir de plus amples informations, j'ai inclus quelques sources ci-après.
    OUVRAGES *Blaylock, Russell L., Excitotoxins : The Taste That Kills (Health Press, Santa Fe, New Mexico, |1994). Un des meilleurs ouvrages disponibles sur les excitotoxines. Vaut le coup d'être lu ! *H.J. Roberts, M.D., aspartame (NutraSweet), Is it Safe? Disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *Sweet'ner Dearest, disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *Mary Nash Stoddard, The Deadly Deception, disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *Barbara Mullarkey, Editeur, Bittersweet
    aspartame - A Diet Delusion, disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety. *The aspartame Consumer Safety Network, The aspartame consumer Safety Network Synopsis. *Dennis Remington, M.D. et Barbara Huga, R.D., The Bitter Truth About Artificial Sweetners, disponible par le réseau de l'aspartame Consumer Safety.

    ASPARTAME CONSUMER SAFETY NETWORK P.O. Box 780634 Dallas, Texas 75378, USA Tél.: (214) 352-4268

    Pour obtenir plus de renseignements (disponible en anglais seulement), mettez juste dans la ligne "sujet" de votre courriel : "Please send me help et envoyez-le à Betty Martini <Mission-Possible-USA@Altavista.net> la fondatrice de Mission Possible International.
    Mais surtout visitez http://www.dorway.com qui contient plus de 500 pages web sur l’aspartame. Vous y découvrirez aussi des hyperliens avec 29 autres sites touchant le sujet.
    Visitez aussi le FAQ.

    REFERENCES:
    (1) Department of Health and Human Services, Rapport sur les effets contraires du système de surveillance des effets contraires, ( 25 et 28 février 1994).
    (2) Compilé par des chercheurs, docteurs et experts des édulcorants artificiels pour Mission Possible, un groupe dédié à la mise en garde des consommateurs quant à l'usage de
    l'aspartame.

    (3) Excitotoxines : The Taste That Kills, par Russell L. Blaylock, M.D.

    (4) Safety of Amino Acids, Life Sciences Research Office, FASEB, FDA Contract n° 223-88-2124, Task Order N° 8.

    (5) Département de la FDA chargé de la surveillance des réactions adverses.
    (6) Wurtman et Walker, "Dietary Phenylalanine and Brain Function", réunions du premier meeting international sur la Phénylalanine diététique et la fonction du cerveau, Washington,
    D.C., 8 mai 1987.

    (7) Audition devant le Committee On Labor and Human Resources du Sénat des Etats-Unis, première session sur l'examen des problèmes de santé et de sécurité du NutraSweet
    (aspartame).

    (8) Compte-rendu de John Cook publié dans Informed Consent Magazine. "How Safe Is Your Artificial Sweetener" par Barbara Mullarkey, Septembre/octobre 1994.
    (9) Woodrow C. Monte, PhD., R.D., "aspartame : Methanol and the Public Health", Journal of Applied Nutrition, 36 (1):42-53.
    (10) Cour d'appel des USA du Circuit du District de Columbia, N° 84-1153 Community Nutrition Institute et le Dr. Woodrow Monte contre le Dr. Mark Novitch, Acting Commissioner de
    la FDA des USA (24/9/85)

    (11) Main courante sur l'aspartame par Barbara Mullarkey, publiée dans Informed Consent Magazine, Mai/juin 1994.
    (12) Brigade d'inspection de la FDA "Final Report of Investigation of G.D. Searle Company" (24 mars 1976)
    (13) Déposition du Dr. Jacqueline Verrett, toxicologue de la FDA, devant la commission sénatoriale des USA sur le travail et les Ressources Humaines, (3 novembre 1987)
    (14) Mémorandum interne de la FDA

    (15) Analyse préparée par le Dr. John Olney en tant que déclaration devant le bureau d'investigation de la FDA. Also Excitotoxins par Russell Blaylock, M.D.

    (16) Rapport d'audience au Congrès SID835:131 (1er août 1985)

    (17) Information sur le Programme de l'Institut National sur le Cancer SEER

    (18) Walton, Ralph G., Robert Hudak, Ruth Green-Waite " Adverse Reactions to aspartame : Double Blind Challenge in Patients from a Vulnerable Population"; Biological Psychiatry,
    1993:34:13-17

    (19) Barbara Mullarkey, "How Safe Is Your Artificial Sweetner?" numéro de Septembre/octobre 1994 de Informed Consent Magazine.

    (20) US Air Force. "aspartame Alert". Flying Safety, 48 (5) :20-21 (Mai 1992)

    (21) Rapport de l'Aspartam Consumer Safety Network.

    (22) Barbara Mullarkey, "Bittersweet aspartame, A Diet Delusion".
    (23) Millstone, Eric "Sweet and Sour". The Ecologist, 25 (mars/avril 1994)
    (24) Mary Nash Stoddard, éditeur, "The Deadly Deception", aspartame Consumer Safety Network.
    (25) ADA Courier, Janvier 1993, Volume 32, Numéro 1.
    (26) "FDA Rejects AHPA Stevia Petition" par Mark Blumenthal, Whole Foods, Avril 1994




    Aspartame : Le mal caché du siècle

    Q. Comment s'est-on aperçu que l'aspartame est nocif pour la santé?
    R. Comme on peut le constater à la lecture de 2 articles parus en 95 dans le magazine américain Nexus (pour en savoir plus, il est recommandé de prendre connaissance de la traduction de ces articles disponibles au:
    http://www.cybernaute.com/earthconcert2000/AspartameTruth.htm), les toutes premières études des effets de l'aspartame sur des singes menées en 1969 par le Dr. Harry Waisman révélèrent sans équivoque sa nocivité. Plusieurs autres études indépendantes ont depuis corroboré ce fait.

    Mais l'aspartame a tout de même été approuvé. Comment? Le
    comité de la FDA (Food and Drug Administration) américaine chargé d'étudier les demandes d'approbation de nouveaux produits s'est refusé durant 16 ans à autoriser l'usage de ce produit dans l'alimentation humaine en raison des études démontrant sa nocivité. Mais l'ancien président Ronald Reagan, un ami du président de la compagnie Searle qui a concocté l'aspartame (Searle a depuis été rachetée par Monsanto, la tristement célèbre multinationale ayant mis au point de nombreuses plantes transgéniques), a mis à la porte de la FDA le commissaire en chef qui refusait à l'époque de faire approuver l'aspartame contre l'avis de ses propres experts. Il a nommé à sa place le Dr. Arthur Hull Hayes qui lui n'a pas eu la moindre hésitation à imposer en 1986 l'approbation de l'aspartame en dépit de l'opposition initiale d'une majorité de membres du Comité d'évaluation de la FDA. Peu après, ce triste personnage démissionnait et était engagé à fort salaire par la firme de relations publiques de Searle. Depuis il a systématiquement refusé de faire toute déclaration publique à
    ce sujet.

    Q. Quelle est la composition chimique exacte de l'aspartame?
    R. De la phénylalanine (50%), de l'acide aspartique (40%), et enfin de l'ester de méthyle (10%) qui se transforme rapidement en alcool méthylique (ou méthanol) après ingestion en plusieurs autres produits neurotoxiques et cancérigènes résultant de leur dégradation, soit par les transformations métaboliques se produisant dans l'organisme, soit par l'exposition du produit contenant l'aspartame à une température supérieure à 30 degrés centigrades (dans l'entreposage ou le transport ou durant la cuisson), tous des sous-produits qui induisent une grave dépendance avec phénomène de sevrage intense pour les grands consommateurs d'aspartame qui tentent d'arrêter d'en prendre (voir aussi le document anglais "ASPARTAME ADDICTION" du Dr. H. J. Roberts qui y explique à fond ce problème - il est disponible au
    http://www.cybernaute.com/earthconcert2000/AspartameGate.htm)

    Q. Quels sont les effets de l'aspartame à moyen et long terme?
    R. Évidemment plus la consommation est importante et prolongée, plus les effets sont graves.
    Certaines personnes sont plus prédisposées à certains types d'effets. Cela varie donc d'une personne à l'autre. Il y a entre autres de grands risques de malformations congénitales pour les bébés dont les mères consomment des produits contenant de l'aspartame alors qu'elles sont enceintes car ses sous-produits, une fois faite la décomposition de
    l'aspartame, peuvent franchir la barrière placentaire tout autant que la barrière protectrice du cerveau. Les jeunes enfants sont aussi exposés à de sérieux problèmes (allergies graves, urticaire, tumeurs au cerveau et même la mort) surtout si leurs parents veulent leur éviter de consommer du sucre en leur donnant des produits dits "sans sucre" qu'ils faut donc éviter à tout prix - il est fortement recommandé de lire les étiquettes quoique l'aspartame n'y soit pas toujours nommément mentionné - il porte aussi des noms de commerce comme NutraSweet® ou Equal® - il faut aussi éviter tout produit contenant de l'acesulfame-k ou de la sunette. On dit même qu'il est parfois ajouté au sucre ordinaire et aux confiseries (bonbons et chocolat) à cause de son grand pouvoir sucrant et de la dépendance qu'il engendre, mais ceci n'est ni prouvé ni admis par aucun fabricant de sucre ou de confiseries. Chose certaine, on en trouve même dans les suppléments de vitamines pour enfants (et pour adultes)! Il faut donc toujours lire avec soin les étiquettes avant d'acheter tout produit alimentaire vendu en magasin.

    Voici la liste complète des problèmes de santé que l'aspartame engendre ou aggrave:
    · Crises d'épilepsie ou d'apoplexie et convulsions ·
    · Étourdissements et vertiges ·
    · Tremblements ·
    · Migraines et violents maux de têtes (déclenchés ou causés par une
    consommation chronique) ·
    · Pertes de mémoire (un des effets fréquents de la toxicité de l'aspartame) ·
    ·Difficulté d'élocution ·
    · Confusion ·
    · Engourdissements ou
    fourmillements dans les extrémités ·
    · Fatigue chronique ·
    · Dépression ·
    · Insomnie ·
    · Irritabilité ·
    · Accès de panique (réaction courante à la toxicité de l'aspartame) ·
    Changements de personnalité profonds ·
    · Phobies ·
    · Rythme cardiaque rapide, tachycardie (une autre réaction fréquente de l'aspartame) ·
    · Problèmes d'asthme ·
    · Douleurs
    de poitrine ·
    · Hypertension (pression sanguine élevée) ·
    · Nausées et vomissements · Diarrhée · Douleurs abdominales · Douleurs en avalant · · Démangeaisons ·
    · Urticaire ·
    · Autres réactions allergiques typiques · · Difficulté de contrôle du taux de sucre dans le sang (hypoglycémie ou hyperglycémie) ·
    · Problèmes menstruels ou changements dans le cycle menstruel ·
    · Impotence et problèmes sexuels · · Besoin maladif de manger sans cesse ·
    · Embonpoint ·
    · Perte de cheveux (calvitie) ou cheveux de plus en plus clairsemés · Sensation brûlante en urinant et diverses autres problèmes urinaires · Soif ou faim excessives ·
    · Ballonnements, oedèmes (rétention des liquides) ·
    · Susceptibilité aux infections ·
    · Douleurs aux articulations ·
    · Cancer du cerveau ·
    · Mort

    L'aspartame provoque des symptômes semblables aux maladies suivantes, ou bien les aggrave:

    · Fibromyalgie ·
    · Arthrite ·
    · Sclérose en plaques ·
    · Maladie de Parkinson ·
    · Lupus ·
    · Sensibilité multiple aux produits chimiques ·
    · Diabètes et complications diabétiques ·
    · Épilepsie ·
    · Maladie d'Alzheimer ·
    · Malformations congénitales ·
    · Syndrome de fatigue chronique ·
    · Lymphome (tumeur maligne du tissu lympoide) ·
    · Maladie de Lyme (normalement causée par un minuscule parasite) · · · Troubles liés au manque d'attention ·
    · Troubles de panique ·
    · Dépression et autres troubles psychologiques·

    Q. Pourquoi l'aspartame est-il dangereux pour les diabétiques? Que provoque t-il?
    R. Comme pour bien d'autres maladies de dégénérescence, il accélère le développement du diabète et provoque des complications métaboliques, neurologiques et autres. C'est
    bien expliqué dans l'article du magazine américain Nexus disponible au: http:// www.cybernaute.com/earthconcert2000/AspartameTruth.htm


    Q. Quels sont les autres effets nocifs de l'aspartame?

    R. Vous référer encore à l'article mentionné ci-dessus. Certains des produits résultant de sa décomposition métabolique sont de puissants neurotoxiques qui entraînent la mort des cellules synaptiques (terminaisons transmettant l'influx nerveux dans le cerveau) par sur-stimulation, un peu comme le fait la cocaïne, d'où l'amplification de l'Alzheimer, de la fatigue chronique, des migraines, pertes de mémoire, etc., et en bout de ligne l'apparition de tumeurs cancéreuses au cerveau et la mort, comme cela s'est produit pour les malheureux
    singes utilisés lors des premières études faites en laboratoire sur l'aspartame.

    Plusieurs autres effets non pathologiques, mais bien financiers cette fois, sont toutefois reliés à l'approbation de l'aspartame, sous la pression corruptrice, surtout aux États-Unis, du lobby exercé par quelques puissantes compagnies, dont bien sûr Monsanto, auprès de tous les organismes de surveillance alimentaire du monde. D'autre part, des compagnies comme Coke et Pepsi qui connaissent parfaitement les risques pour la santé de l'aspartame utilisé massivement dans leurs breuvages diètes (sans sucre) ont fait des profits colossaux grâce aux ventes de ces boissons hautement addictives tel que démontré par le Dr. H. J. Roberts dans l'article "ASPARTAME ADDICTION" mentionné plus haut.
    Ainsi en est-il de toutes les autres compagnies qui l'utilisent. De plus, plusieurs de ces compagnies, dont Monsanto, ont des intérêts dans l'industrie pharmaceutique et ainsi s'enrichissent grâce à toutes les maladies causées ou aggravées par l'aspartame. Est-il nécessaire de rappeler que Monsanto est la même multinationale qui est responsable de l'introduction perfide et insidieuse des aliments transgéniques dans notre alimentation, une compagnie qui avait concocté le fameux agent Orange (à base de dioxine) employé lors de la guerre du Vietnam
    et dont les responsables ont sur la conscience la mort de millions de personnes et les insoutenables souffrances physiques et morales subies par les dizaines de millions de personnes tombées malades à cause de l'aspartame -- un véritable crime contre l'humanité si vous voulez mon avis...

    Une dernière considération: les gouvernements, les compagnies impliquées et toutes les personnes complices du "cover up" pour empêcher que la vérité ne soit révélée au sujet de la corruption ayant menée à l'imposition de l'aspartame dans l'alimentation humaine (ce qui représente plus de 6,000 produits alimentaires répertoriés il y a quelques années -- probablement plus de 9,000 aujourd'hui!), font tout pour nier systématiquement les risques liés à la consommation d'aspartame et en bout de ligne leur responsabilité car, tout comme pour les fabriquants de tabac aux États-Unis qui doivent débourser des milliards de dollars suite aux procès subis, sans compter les autres procès en cours, ils savent fort bien que lorsque l'heure de vérité sonnera, les compensations presque incalculables qu'ils devront verser les mettront en faillite et peut-être même derrière des barreaux de prison.
    Q. Doit-on remplacer l'aspartame par du sucre normal?
    R. Il est préférable de s'en tenir au sucre naturel, tel le sirop d,érable ou le sucre brut mais l emeilleur de tous est cette plante sucrée nommée Stévia, qui est 100 fois plus sucrée que le suces. Aucune calorie et totalement naturel. Voir le lien suivant pour info: http://conspiration.cc/sante/stevia1.html
    Il ne faut certainement pas le remplacer par d'autres produits chimiques aux effets tout aussi imprévisibles et nocifs. À noter que Monsanto tente présentement de faire accepter en douce par la FDA l'utilisation du néotame qui est encore pire que l'aspartame, est semble-t-il 40 fois plus sucrant au goût et est encore plus addictif. Mais il est certes préférable de limiter au minimum la consommation de tout aliment industriel sucré quel qu'il soit car la physiologie du corps humain, comme le signale Danièle Starenkyj dans "Le mal du sucre" (Ed. Orion, 1981), n'a jamais eu, au fil de son évolution depuis des millions d'années, à subir l'assaut de quantités aussi considérables de sucre. Au lieu des 50 à 70 kilos de sucre que la plupart des Occidentaux consomment par année aujourd'hui, l'espèce humaine d'avant la découverte de la canne à sucre n'avait jamais consommé plus de 2 à 3 kilos de sucre par an, dans ses fruits notamment. Par conséquent, les gens qui consomment du sucre aujourd'hui en quantité aussi phénoménale ne peuvent que se retrouver avec des déséquilibres et des maladies, sans compter que le sucre, et tout particulièrement le sucre blanc raffiné, affaiblit le système immunitaire.

    Q. L'aspartame est utilisé et autorisé dans plus de 100 pays au monde. Pourquoi ne dit-on rien?
    R. Cette conspiration du silence a longtemps été lié à l'insouciance que la plupart des gens affichent quant au contenu exact de ce qu'ils mangent et boivent. Trop de gens, encore aujourd'hui, se fient aveuglément aux fonctionnaires des services gouvernementaux responsables de veiller à la protection de notre santé et n'osent donc pas douter du "principe" stupide qui veut que si un produit est en vente partout, il n'est sûrement pas dangereux pour la santé. Heureusement les choses commencent à changer, surtout en Europe où la maladie de la vache folle en Angleterre, la contamination des viandes à la dioxine en Belgique, la controverse entourant l'importation de viande américaine contenant des hormones cancérigènes et, récemment, l'explosion de protestations contre les aliments transgéniques ont rendu les gens beaucoup plus avertis et moins enclins à faire aveuglément confiance aux autorités pour les protéger des manigances criminelles des riches compagnies multinationales pour lesquelles le profit passe avant la santé des gens. Mais le refus des autorités
    gouvernementales de considérer les preuves qui s'accumulent au dossier de l'aspartame tient aussi à leur refus d'admettre l'erreur monumentale qu'elles ont commise en acceptant au départ, sans études indépendantes sérieuses et fiables, ce produit nocif et mortel. Ce qui s'est passé dans le cas de la contamination des banques de sang par le virus du SIDA en France et au Canada, par exemple, et le refus prolongé de la classe politique d'accepter ses responsabilités dans ce cafouillage est un bon exemple du réflexe habituel d'autoprotection des élites politiques et financières qui ne se laisseront pas entraîner sur le bûcher populaire de la révolte des consommateurs abusés qui gronde sans opposer une résistance farouche avec leurs milliards et leur influence occulte mais omniprésente sur ce qu'acceptent de rapporter la majorité des grands médias.

    Q. Avez-vous d'autres commentaires personnels?
    R. Seule une conscientisation quant à notre responsabilité individuelle de prendre en main notre santé en s'assurant de la qualité irréprochable de ce que nous mangeons et buvons pourra un jour faire en sorte que nous retrouverons le chemin de la vraie santé, sans médicaments ni autres béquilles chimiques. À cet égard, le choix de manger de préférence des aliments de culture biologique s'inscrit dans une démarche sensée et raisonnable selon laquelle investir dans une bonne alimentation vaut mieux que de se retrouver avec des maladies débilitantes qui nous laisseront affaiblis, souffrants et diminués dès que les séquelles d'une alimentation polluée se feront sentir, ce qui trop souvent, malheureusement, se produit à un âge précoce...
    Enfin il ne faut pas oublier de mentionner le travail phénoménal de l'inépuisable Betty Martini, une américaine dans la soixantaine qui se consacre corps et âme depuis des années à dénoncer les méfaits de l'aspartame et toutes les magouilles qui entourent cette question et dont l'organisme bénévole, Mission Possible International, compte des membres participants et activistes dans de nombreux pays - leur site Internet anglais est le www.dorway.com.
    Réponses apportées le 22 janvier 2000 par Jean Hudon -- un Québécois, traducteur professionnel, coordonnateur du Réseau Arc-en-ciel de la Terre
    (site Internet: http://www.cybernaute.com/earthconcert2000) et auteur de 2 livres (le "Manuel d'instruction pour un nouveau monde" paru en 85 et "L'enfant immortel" paru en 87) et de plusieurs articles de magazine -- dans le cadre d'un interview mené par voie de courriel par Magali Pacary pour un article à paraître prochainement dans le magazine "Bonne Santé" vendu en France à près de 200 000 exemplaires. On peut écrire à Jean Hudon à l'adresse suivante globalvisionary@cybernaute.com et lui demander à être rajouté(e) à sa liste d'envoi de courriels francophones et/ou anglophones. Rediffusion autorisée à condition de le faire intégralement, y inclus ce paragraphe.

    CONFÉRENCE MONDIALE POUR L'ENVIRONNEMENT ET LA FONDATION POUR LA SCLÉROSE EN PLAQUES

    La Federal Drug Administration (FDA) accusée de collusion avec MONSANTO

    Article distribué par Nancy Markle qui provenait à l'origine de la transcription d'une conférence donnée par Betty Martini <Mission-Possible- USA@Altavista.net> le 20.11.1997
    Lors de la Conférence mondiale pour l'environnement, j'ai passé plusieurs jours à donner des conférences sur l'aspartame vendu sous les appellations de 'NutraSweet', 'Equal', et 'Spoonful'. Lors du discours d'ouverture prononcé par un représentant de l'Agence américaine de protection de l'environnement, on a annoncé qu'il y avait une épidémie de sclérose multiple et de lupus érythémateux systémique et qu'on ne comprenait pas quelle toxine pouvait causer une épidémie aussi étendue dans l'ensemble des États-Unis. J'ai expliqué que j'étais justement là pour donner une conférence à ce sujet.
    Lorsque la température de l'aspartame dépasse les 30 degrés Celsius (86 degrés Fahrenheit), l'alcool méthylique contenu dans l'aspartame se transforme en formaldéhyde, puis en acide formique, ce qui cause de l'acidité métabolique. (L'acide formique est le poison injecté par les piqûres de fourmis). La toxicité du méthanol ressemble à la sclérose en plaques; d'où les gens diagnostiqués par erreur comme souffrant de sclérose en plaques. La sclérose en plaques n'est pas mortelle, contrairement à l'empoisonnement au méthanol.
    En ce qui concerne le lupus systémique, nous découvrons qu'il est presque aussi répandu que la sclérose en plaques, tout spécialement chez les personnes qui boivent du Coke Diète et Diète Pepsi. De plus, en ce qui concerne l'intoxication au méthanol, les victimes en boivent généralement trois à quatre cannettes de 12 onces par jour, certains même davantage.

    Dans les cas de lupus systémique, qui est déclenché par l'ASPARTAME, la victime ne sait généralement pas que c'est l'aspartame qui est à blâmer. La victime continue à en faire usage, aggravant le lupus à un point tel que parfois, cela pose un risque pour la vie même de la personne. Lorsqu'on parvient à faire cesser toute consommation d'aspartame chez les gens, ceux souffrant de lupus systémique deviennent généralement asymptomatiques. Malheureusement, on ne peut pas faire disparaître cette maladie.

    Toutefois, dans le cas des personnes chez qui on a diagnostiqué la sclérose en plaques, (alors qu'en réalité, il s'agit d'une intoxication au méthanol), la plupart des symptômes disparaissent. Nous avons vu des cas où la vue et même l'ouïe sont revenues. Cela s'applique aussi aux cas d'acouphène.
    Lors d'une conférence, j'ai affirmé que « si vous utilisez de l'aspartame (NutraSweet, Equal, Spoonful, etc.) et que vous souffrez de symptômes de fibromyalgie, de spasmes, de douleurs lancinantes, d'engourdissements des jambes, de crampes, de vertige, de maux de tête, d'acouphène, de douleurs aux articulations, de dépression, d'attaques d'anxiété, de difficultés d'élocution, de troubles de la vue ou de pertes de mémoire -- vous avez probablement la MALADIE DE L'ASPARTAME! » Des gens sursautaient durant mon exposé et
    demandaient : "Je souffre de cela, est-ce réversible?" Ce problème se généralise de plus en plus. Quelques-uns des conférenciers présents lors de ma présentation souffraient eux-mêmes de ces symptômes. Lors de l'une de mes conférences, l'ambassadeur d'Ouganda nous apprit même que leur industrie du sucre ajoutait de l'aspartame! Il continua en disant que l'un des fils du leader de cette industrie ne pouvait plus marcher, en partie à cause de l'ingestion de ce produit.

    Il s'agit d'un problème très sérieux. Quelqu'un est venu nous voir, le Dr. Espisto (un des autres conférenciers) et moi-même, pour nous demander « Pouvez-vous me dire pourquoi de plus en plus de gens sont atteints de sclérose en plaques? » Durant la visite d'un hôpital, une infirmière nous a dit que six de ses amis, grands buveurs de Coke Diète, avaient eu un diagnostic de sclérose en plaques. Cela dépasse les simples coïncidences, et c'est là le problème. Aux États-unis, des audiences du Congrès ont eu lieu alors qu'environ 100 produits
    différents contenaient de l'aspartame. Depuis ces premières audience, il y en a eu deux autres, qui n'ont pas donné de résultat. Rien n'a été fait. Le lobby des compagnies pharmaceutiques et chimiques dispose de grands moyens financiers.

    Aujourd'hui, plus de 5000 produits contiennent cette substance, et le brevet est expiré!! A l'époque de la première audience, les gens devenaient aveugles. Le méthanol de l'aspartame se transforme en formaldéhyde dans la rétine de l’œil. La formaldéhyde possède le même degré de toxicité que le cyanure et l'arsenic -- QUI SONT DES POISONS MORTELS!!! Malheureusement, ils prennent plus de temps à tuer; mais ils tuent des gens et provoquent toutes sortes de problèmes neurologiques.
    L'aspartame modifie la chimie du cerveau, ce qui provoque de graves crises épileptiques. Cette drogue change la concentration de dopamine dans le cerveau. Imaginez l'effet que cette substance peut avoir chez des patients souffrant de la maladie de Parkinson. Cette drogue provoque aussi des malformations de naissance.

    Il n'existe absolument aucune raison d'ingérer ce produit. Ce n'est PAS UN PRODUIT ALIMENTAIRE!!! Selon le rapport du Congrès, "Cela engendre un besoin maladif de féculents et vous fera engraisser". Le Dr. Roberts expliqua que lorsqu'il prescrit à ses clients de cesser toute consommation d'aspartame, la perte de poids moyenne fut de 10kg (19 livres) par personne. La formaldéhyde s'accumule dans les cellules graisseuses, particulièrement dans les hanches et les cuisses.

    L'aspartame est tout particulièrement dangereux pour les diabétiques. Tous les médecins savent l'effet qu'aura l'alcool méthylique chez une personne diabétique. Nous nous sommes rendu compte que bien des médecins croient avoir des patients atteints de rétinopathie, alors qu'en fait, ce désordre est causé par l'aspartame. L'aspartame maintient le
    niveau de sucre dans le sang hors de contrôle, provoquant le coma chez de nombreux patients. Malheureusement, beaucoup en sont morts. Lors de la Conférence organisée par le Collège Américain des Médecins, de nombreuses personnes nous ont dit que des membres de leur famille qui avaient cessé de consommer des produits contenant de la saccharine pour choisir plutôt des produits renfermant de l'aspartame s'étaient retrouvés dans le coma. Leurs médecins ne parvenaient plus à maintenir le niveau de sucre dans des limites acceptables. Ces patients souffraient donc de graves problèmes de perte de mémoire et finissaient par sombrer dans le coma et mourir.

    La perte de mémoire est due au fait que sans les autres acides aminés présents dans les protéines, l'acide aspartique et la phénylalanine sont neurotoxiques. Ils franchissent la barrière sanguine du cerveau et font se détériorer les neurones. Le Dr. Russell Blaylock, neurochirurgien, soutient que "Les ingrédients de l'aspartame stimulent les neurones du
    cerveau à un point tel qu'ils en meurent, ce qui provoque des dégâts dans le cerveau à des degrés divers. Dr. Blaylock a écrit un livre intitulé "EXCITOTOXINS: THE TASTE THAT KILLS"
    (Excitotoxines : Le goût qui tue) (Health Press 1-800-643-2665).

    Le Dr. H.J. Roberts, spécialiste du diabète et expert mondial de l'empoisonnement à l'aspartame, a aussi écrit un livre intitulé "DEFENSE AGAINST ALZHEIMER'S DISEASE" (Pour se protéger de la maladie de l'Alzheimer (1-800-814-9800). Le Dr. Roberts explique comment l'empoisonnement à l'aspartame aggrave la maladie d'Alzheimer. Comme l'infirmière d'un hôpital me le disait, des femmes de 30 ans arrivent avec la maladie d'Alzheimer. Le Dr. Blaylock et le Dr.
    Roberts vont écrire un article sur ce sujet comportant quelques descriptions de cas, et le publieront sur Internet. Selon les conclusions de la Conférence du Collège Américain de la Médecine, « Nous parlons ici d'une épidémie mondiale de maladies neurologiques provoquées par ce poison mortel ».

    Le Dr. Roberts a pris conscience de ce qui se passait lorsque les premières campagnes publicitaires pour promouvoir l'usage de l'aspartame ont été lancées. Il dit que ses patients diabétiques présentèrent des symptômes de perte de mémoire, de confusion et de baisses graves de la vue. Lors de la Conférence du Collège américain de la médecine, les médecins durent admettre qu'ils n'étaient pas conscients du problème jusque-là. Ils se demandaient pourquoi ces crises s'étaient tellement répandues (la phénylalanine contenue
    dans l'aspartame abaisse le seuil de crise et épuise la sérotonine, ce qui provoque de la maniaco-dépression, des crises de panique, de la rage et de la violence).

    Juste avant la conférence, j'ai reçu une télécopie de Norvège me demandant s'il existait un antidote à ce poison, car ils ont énormément de problèmes liés à cela dans ce pays. Ce poison est maintenant disponible dans plus de 90 pays. Heureusement, des conférenciers et ambassadeurs de plusieurs pays étaient présents à la conférence et ont offert leur soutien. Nous vous demandons aussi de nous aider. Imprimez cet article et avertissez les gens que vous connaissez. Ramenez au magasin tout produit contenant de l'aspartame.
    Faites le test "PAS D'ASPARTAME" et envoyez-nous les détails de votre histoire.

    Je vous assure que chez Monsanto, la multinationale qui a racheté la compagnie Searle créatrice de l'aspartame, on sait fort bien à quel point ce produit est dangereux. Ils financent l'Association Américaine des Diabétiques, l'Association Diététique Américaine, le Congrès Américain et la Conférence du Collège américain de la Médecine. Le 15 novembre 1996, le New York Times a publié un article montrant comment l'Association Diététique Américaine accepte de l'argent de l'industrie alimentaire et, en échange, approuve leurs produits.
    Dès lors, ils ne sont plus en position de critiquer le moindre additif, ou de reconnaître leurs liens avec MONSANTO. C'est vraiment très grave.

    Nous avons dit à une mère dont l'enfant était nourri au NutraSweet d'abandonner ce produit. L'enfant souffrait d'attaques quotidiennes. La mère a téléphoné à son médecin, qui a téléphoné à l'Association Diététique Américaine, qui a répondu au médecin de ne pas supprimer l'apport de NutraSweet chez l'enfant. Nous en sommes toujours à essayer de convaincre la mère que l'aspartame provoque ces attaques. Chaque fois que nous parvenons à supprimer l'ingestion d'aspartame, les attaques cessent. Si cet enfant meurt, vous saurez qui en est responsable, et c'est contre cela que nous nous battons. Il existe 92 symptômes documentés de problèmes liés à l'aspartame, du coma à la mort. La majorité d'entre eux sont neurologiques, parce que l'aspartame détruit le système nerveux.

    La maladie de l'aspartame est en partie la cause sous-jacente du mystère des problèmes de santé des soldats américains durant la guerre du Golfe. La langue qui brûle et d'autres problèmes répertoriés dans plus de 60 cas peuvent directement être reliés à la consommation de produits sucrés à l'aspartame. Plusieurs milliers de palettes de boissons "diètes" avaient été envoyées aux troupes stationnées dans le Golfe. (Souvenez-vous qu'à partir de 30 °C, la chaleur libère le méthanol de l'aspartame). Ces boissons diètes restèrent sous
    les 40°C du soleil d'Arabie durant des semaines , stockées sur des palettes. Les hommes et les femmes envoyés dans le Golfe les buvaient toute la journée durant. Tous leurs symptômes sont identiques à ceux de l'empoisonnement à l'aspartame. Dr. Roberts affirme que « consommer de l'aspartame au moment de la conception peut provoquer des malformations de naissance. » Selon le témoignage devant le Congrès qu'a fait le Dr. Louis Elsas, pédiatre et Professeur en génétique à la Emory University, la phénylalanine se
    concentre dans le placenta, provoquant des retards mentaux.

    Dans les premiers tests sur les animaux de laboratoire, les animaux développèrent des tumeurs du cerveau (la phénylalanine se décompose en DXP, un agent de la tumeur du cerveau). Lors d'un exposé du Dr. Espisto sur l'aspartame, un neurochirurgien de l'audience rajouta « lorsqu'ils ont ôté les tumeurs, ils ont trouvé qu'elles contenaient de très hautes concentrations d'aspartame. »
    Le Stevia, un aliment sucré QUI N'EST PAS UN ADDITIF et qui aide à la métabolisation des sucres serait idéal pour les diabétiques; il a maintenant été approuvé comme supplément diététique par la Federal Drug Administration (FDA) américaine. Durant des années, cette même FDA avait refusé d'approuver ce produit, du fait de sa loyauté envers MONSANTO.
    Si c'est marqué "SANS SUCRE" sur l'étiquette,
    -- N'Y TOUCHEZ SURTOUT PAS !!!!!!

    Le Sénateur Howard Hetzenbaum a écrit un projet de loi qui aurait protégé tous les nourrissons, les mères enceintes et les enfants des dangers de l'aspartame. Ce projet de loi aurait aussi institué des recherches indépendantes sur les problèmes existant dans la population liés à l'aspartame (attaques, changements dans la chimie du cerveau, changements dans les symptômes et les attitudes neurologiques). Ce projet de loi a été enterré par les tout-
    puissants lobbies chimiques et pharmaceutiques, laissant ainsi se propager cette vague de maladie et de mort dans un public n'en soupçonnant pas l'existence. Depuis la Conférence du Collège Américain des Médecins, nous espérons avoir le soutien de certains leaders politiques de différents pays. À nouveau, S.V.P., aidez-nous. Beaucoup de gens doivent être avertis: transmettez-leur ces informations.

    Visiter aussi le site web anglais de Mission Possible International au www.dorway.com pour tout découvrir à ce sujet.